{"title":"P. Aelius Peregrinus Rogatus et le gouvernement de la province de Maurétanie césarienne","authors":"Zheira Kasdi","doi":"10.3406/ccgg.2016.1875","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2016.1875","url":null,"abstract":"Amongst the equestrian career of P. Aelius Peregrinus Rogatus under Septimius Severus and Caracalla, his office of procurator ducenarius of Mauretania Caesariensis is especially well-known, through a profuse epigraphic documentation coming from this Roman province. The dossier has never been the subject of a comprehensive survey. Through its full re-examination, we propose to focus on the role of this equestrian officer in Mauretania Caesariensis. The documentation emphasizes the diverse aspects of his government and also provides a concrete testimony about provincial governors activity in general.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"39 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"132710081","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Publicité ou conséquences des risques du transport maritime ? Sur la fonction des tituli picti des amphores romaines dans le contexte des prêts maritimes","authors":"Ulrike Ehmig","doi":"10.3406/ccgg.2014.1816","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2014.1816","url":null,"abstract":"La fonction des inscriptions peintes sur les amphores romaines est examinée de manière systématique, pour la première fois. Jusqu’ici, les tituli picti ont été utilisés comme une source d’information majeure sur le transport de marchandises. Néanmoins, il faut aussi tenter de déterminer pourquoi les conteneurs ont été peints, ce que la recherche n’a pas fait de manière satisfaisante jusqu’à maintenant. Au cours des vingt-cinq dernières années, quelques hypothèses d’interprétation des inscriptions comme des étiquettes publicitaires ont été formulées. Cependant, ces considérations ne résistent pas à un examen critique et il semble préférable de lier la réalisation de tituli aux risques du transport maritime. Cette interprétation permet d’expliquer l’ensemble des formulaires. Ils paraissent intimement liés à l’existence de contrats, visant à minimiser les risques maritimes.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"5 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134136559","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"L’identité religieuse des conquis. Les effets de la conquête romaine en pays batave. (À propos de quelques ouvrages récents)","authors":"Sarah Rey","doi":"10.3406/ccgg.2014.1814","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2014.1814","url":null,"abstract":"Dans l’historiographie de ces dernières années, la vogue des questions identitaires nuit parfois à la compréhension des aspects religieux de la «romanisation » . C’est ce qui ressort de certains travaux récemment consacrés aux Bataves. Dans ces franges septentrionales de l’Empire, l’idée d’une résistance religieuse, qui se développerait face à l’ordre romain, n’est pas corroborée par les sources antiques. L’attachement des Bataves à la figure d’Hercule Magusanus ne peut être compris comme un penchant exclusif en faveur d’une divinité que les Romains, ou leurs agents, ne reconnaîtraient pas. De même, l’image de sanctuaires ruraux où se réfugierait l’âme batave doit être révisée. Enfin, les colonies implantées dans cette partie du monde romain ne sont pas des camps retranchés, où le sentiment identitaire deviendrait pour chacun une obsession quotidienne.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"25 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"115570546","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Le fragment de L. Cincius (Festus p. 276 L) et le commandement des armées du Latium","authors":"P. Sánchez","doi":"10.3406/ccgg.2014.1812","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2014.1812","url":null,"abstract":"De nombreux Modernes, persuadés que la tradition annalistique avait considérablement exagéré la puissance de Rome dans le Latium au Ve et au IVe siècle av. J.-C., ont cru trouver dans un célèbre fragment de l’antiquaire Lucius Cincius la preuve qu’à cette époque, Rome exerçait le commandement militaire à tour de rôle ou en alternance avec les cités membres de la Ligue latine ; certains en ont conclu que Rome faisait elle-même partie de cette ligue ; d’autres ont déduit de ce passage que les généraux nommés par Rome étaient des magistrats «latins » ou «fédéraux » , distincts des magistrats traditionnels de la République romaine. Une analyse lexicale, grammaticale et institutionnelle du passage montre qu’en réalité, Cincius donne les mêmes informations que la tradition annalistique : d’après lui, Rome ne faisait pas partie de la Ligue latine et lorsque les deux alliés combattaient ensemble au nom du foedus Cassianum, c’étaient toujours les Romains qui dirigeaient les opérations militaires. Le commandement des armées alliées était confié à un magistrat romain, préteur/ consul, tribun militaire ou dictateur, nommé selon les procédures habituelles : avant de quitter Rome, il prenait les auspices sur le Capitole afin d’obtenir des dieux la confirmation des pouvoirs militaires qui lui avaient été conférés par les instances compétentes, et il était salué du titre de praetor par les armées latines à la porte de la Ville.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"2011 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"121746439","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"The lex Curiata and the patrician auspices","authors":"F. Vervaet","doi":"10.3406/ccgg.2015.1848","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2015.1848","url":null,"abstract":"Cicéron (Leg. 3.10) atteste explicitement le fait que omnes magistratus auspicium iudiciumque habento. Une élection sans vice de forme (iure creatio) par un vote du peuple était suffisante pour que les minores magistratus (populi Romani) acquièrent une iusta potestas et puissent prendre des auspicia patriciorum publica minora parfaitement valides. Par contre, les maiores magistratus cum imperio – les magistratus patricii originels – devaient détenir en outre une lex curiata de imperio, afin de confirmer que les auspices qu’ils détiendraient en vertu de leur imperium, d’une importance capitale, étaient bien les auspicia patriciorum publica maxima. Ce faisant, leur imperium devenait «iustum » (ainsi que, par défaut, toute leur magistrature). Même si au moins une tradition influente à la fin de la République faisait remonter à la période royale la pratique de présenter des lois curiates de imperio, il n’est pas déraisonnable de supposer que cette coutume institutionnelle ne vit le jour que plus tard, au cours du ive siècle avant notre ère et après plusieurs décennies de luttes politiques acharnées, lorsque la plèbe réussit finalement à s’assurer par une garantie légale l’accès régulier au consulat.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"35 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"123935569","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Qui a tué Marcellus ? Hiérarchie administrative et prosopographie à travers le procès de Marcel le Centurion (298 p. C.)","authors":"Gwladys Bernard","doi":"10.3406/ccgg.2016.1878","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2016.1878","url":null,"abstract":"In 298 AD, the centurio ordinarius Marcellus, a Christian, is executed in Tangier, before the substitute of the praetorian prefects Aurelius Agricolanus. This date and the Acts of the Passio Marcelli have often been invoked to prove that Diocletian founded the Dioceses at the very end of the Third Century AD. These Acts do not provide such evidence, but their study reveals the structure of the administrative hierarchy in Hispania and Mauretania. Moreover, it helps to identify actors of administration and army in the Western provinces during the beginning of the Tetrarchy.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"31 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"125127635","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Postface. Jean-Marie Bertrand, le collègue et l’ami","authors":"M. Christol","doi":"10.3406/ccgg.2016.1870","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2016.1870","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"15 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"125285313","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"L’expression des relations hiérarchiques dans les inscriptions du Proche-Orient à l’époque romaine","authors":"J. Yon","doi":"10.3406/ccgg.2014.1829","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2014.1829","url":null,"abstract":"A certain scarcity of honorary inscriptions is a startling feature of the Hellenistic and Roman Near East. However, the surviving examples— mostly the epigraphy of Palmyra much richer compared to neighboring regions— show that this region conformed to the habits of the Hellenistic world of the same period and followed the same standards (e. g. word order) despite the occasional use of Aramaic. However, among other things, the study of the concept of friendship, commonplace in classical epigraphy, shows that at Palmyra as at Hatra, other ways could be chosen to mark the hierarchies.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"29 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"131487125","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Cities and civic life in late Hellenistic Roman Sicily","authors":"J. Prag","doi":"10.1163/1874-6772_seg_a64_805","DOIUrl":"https://doi.org/10.1163/1874-6772_seg_a64_805","url":null,"abstract":"Cet article propose une présentation générale et une réévaluation des sources sur les cités et la vie civique en Sicile, dans les deux derniers siècles avant notre ère : l’époque de la province romaine républicaine. L’étude s’ouvre par une brève critique de l’historiographie traditionnelle et de jugements contestables sur les statuts civiques, fondés en priorité sur les sources littéraires. Cette critique repose sur un appendice contenant une analyse détaillée d’un passage-clé de Cicéron (In Verrem 3.12-13). Cette première partie est suivie de trois sections synthétiques sur la vie institutionnelle des cités insulaires, sur la nature de leur constitution (de plus en plus timocratique, dominée par une élite étroite) et nos connaissances sur la monumentalisation urbaine. Ces éléments sont ensuite regroupés dans une discussion sur les comportements des élites siciliennes en contexte urbain et replacés dans un plus large contexte historique. Un thème transversal consiste à mesurer en quoi la Sicile romaine peut être utilement comprise par le biais de comparaisons avec la vie poliade de l’Orient tardo-hellénistique, bien que la précocité du gouvernement provincial romain modère l’intérêt de cette démarche, à plusieurs titres.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"31 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"134543285","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Jupiter héliopolitain et Nemausus sur l’autel d’un citoyen de Beyrouth à la fontaine de Nîmes : la terre des ancêtres et son dieu éponyme","authors":"M. Christol","doi":"10.3406/ccgg.2016.1859","DOIUrl":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2016.1859","url":null,"abstract":"Jupiter Heliopolitanus’ association to Nemausus in Nîmes, in the occasion of a vow made by a primipilus from Beirut, could result from the origin of the veterans who participated in the foundation of this Augustan colony. If the representation of the Syrian god on one side of the altar is obvious, those of a shield and a carnyx, which refer to the warlike past of Gaul, raise this question : how Nemausus, the eponymous god of the city, was represented ?","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"69 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"126660591","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}