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Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/S1769-4493(25)00231-6
{"title":"Sommaire","authors":"","doi":"10.1016/S1769-4493(25)00231-6","DOIUrl":"10.1016/S1769-4493(25)00231-6","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Page iii"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143507995","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"OA","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Ours rédaction EDB 我们的EDB编辑
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/S1769-4493(25)00229-8
{"title":"Ours rédaction EDB","authors":"","doi":"10.1016/S1769-4493(25)00229-8","DOIUrl":"10.1016/S1769-4493(25)00229-8","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Page i"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143507996","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"OA","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Importance d’explorer systématiquement le sommeil des enfants et adolescents porteurs d’un trouble neurodéveloppemental 对患有神经发育障碍的儿童和青少年进行系统睡眠检查的重要性
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.053
Pierre-Yves Libois, Anne-Charlotte Declercq, Véronique Carlier
{"title":"Importance d’explorer systématiquement le sommeil des enfants et adolescents porteurs d’un trouble neurodéveloppemental","authors":"Pierre-Yves Libois,&nbsp;Anne-Charlotte Declercq,&nbsp;Véronique Carlier","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.053","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.053","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>La littérature rapporte que 50 à 80 % des patients souffrant de troubles neurodéveloppementaux ont une plainte de sommeil. Nous proposons d’explorer en ambulatoire par un système JAWAC (détection des mouvements manducatoires verticaux) une population d’enfants et d’adolescents adressés pour difficultés scolaires d’origine neurodéveloppementale.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Cent quatorze patients (27 filles–87 garçons, de 4 à 18 ans) neurodéveloppementaux confirmés par une évaluation pluridisciplinaire, ont bénéficié d’un enregistrement polygraphique Brizzy de Nomics (oxymétrie couplée à un système JAWAC). Sont mesurés la durée du sommeil, le nombre d’événements respiratoires, l’effort respiratoire, l’abaissement mandibulaire moyen, l’indice de désaturation et la fragmentation du sommeil. Selon les résultats, à savoir fragmentation du sommeil ou/et syndrome de haute résistance des voies aériennes supérieurs (SHRVAS), un traitement médicamenteux, psychothérapeutique, chronobiologique, chirurgical ou une auto-rééducation respiratoire est proposé. Son impact évolutif est évalué pour les SHRVAS par un contrôle neurocognitif (BRIEF et alerte attentionnelle phasique et tonique) ainsi qu’un retest polygraphique ou par un suivi en consultation pour les autres dyssomnies.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Sur les 114 patients, 94 patients avaient une fragmentation du sommeil au Brizzy dont 16/24 sans plainte et 78/90 avec plainte(s) de sommeil (<span><span>Fig. 1</span></span>). Cinquante-huit fragmentations étaient imputables à un SHRVAS (de résistance sévère [<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->3], modérée [<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->8], légère [<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->47]). Cinq patients SHRVAS ont été orientés en chirurgie ORL ; parmi les 53 autres, 33 ont bénéficié d’une auto-rééducation respiratoire quotidienne pendant un mois. Les 36 patients au sommeil fragmenté sans SHRVAS ont bénéficié d’un traitement soit médicamenteux, soit psychothérapeutique ou chronobiologique. L’impact des différents traitements ciblés s’est montré largement positif sur la qualité du sommeil et de veille ainsi que sur les capacités cognitives. Sur les 11 SHRVAS actuellement réévalués en polygraphie, 8 ont été normalisés (∼72 %).</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>L’utilisation systématique dans les troubles neurodéveloppementaux d’une polygraphie type Brizzy est simple, sensible et déterminante pour identifier facilement les fragmentations du sommeil et/ou un syndrome obstructif avec une incidence de SHRVAS<!--> <!-->&gt;<!--> <!-->50 % contre 3 à 6 % dans la population générale. Leur prise en charge spécifique permet par ailleurs d’améliorer les performances d’apprentissage corrélativement à la meilleure qualité du sommeil.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Pages 47-48"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508004","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Hypersomnie idiopathique avec majoration au cours la phase lutéale du cycle menstruel, prise en charge par traitements éveillant et hormonal 特发性睡眠过多,在月经周期的黄疸期加重,通过刺激和激素治疗得到支持
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.076
Margaud Tonnelat , Diane Hill , Damien Leger , Alexandre Rouen
{"title":"Hypersomnie idiopathique avec majoration au cours la phase lutéale du cycle menstruel, prise en charge par traitements éveillant et hormonal","authors":"Margaud Tonnelat ,&nbsp;Diane Hill ,&nbsp;Damien Leger ,&nbsp;Alexandre Rouen","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.076","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.076","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>Description d’un cas clinique d’hypersomnie idiopathique chez une femme de 27 ans, avec pour particularité une majoration de la somnolence en phase lutéale, avec traitement spécifique.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Description du cas clinique, avec mesures subjectives (score d’Epworth et IHSS au cours du cycle menstruel) et objectives (polysomnographie, test itératif de latence d’endormissement, et mesure longitudinale au long cours par dispositif FitBit).</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Une patiente de 27 ans, sans antécédents notables, a présenté depuis janvier 2022 une somnolence diurne excessive avec majoration lors de la phase lutéale du cycle menstruel (score d’Epworth en phase folliculaire : 17/24 ; score IHSS en phase folliculaire : 39/50, score d’Epworth en phase lutéale : 21/24 ; score IHSS en phase lutéale : 49/50), avec survenue de 2 à 3 attaques de sommeil par jour en phase lutéale (<span><span>Fig. 1</span></span>). Un enregistrement polysomnographique sur 48<!--> <!-->h a été réalisé, montrant une latence au TILE à 12<!--> <!-->minutes, et un temps total de sommeil sur la polysomnographie ad libitum à 690<!--> <!-->min. Une IRM cérébrale et un bilan biologique de somnolence étaient normaux. Un diagnostic d’hypersomnie idiopathique a ainsi été posé. Un traitement éveillant par modafinil a été initié, permettant une diminution partielle de la somnolence en phase lutéale (score d’Epworth en phase folliculaire : 13/24 ; et en phase lutéale : 16/24). Secondairement, compte tenu du caractère périodique des symptômes, un traitement hormonal a été instauré (dispositif intra-utérin au levonorgestrel), permettant une nette réduction de la somnolence (score d’Epworth : 11/24) et une régression totale des attaques des sommeil en phase lutéale (<span><span>Fig. 1</span></span>). Un enregistrement FitBit a été réalisé, et montre une diminution significative du temps total de sommeil au cours de la prise en charge, notamment après mise en place du dispositif intra-utérin.</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>Cette observation suggère que des variations menstruelles de la somnolence peuvent exister dans les hypersomnies, et qu’un traitement hormonal adjuvant peut dans ces cas compléter le traitement éveillant.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Pages 58-59"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508033","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Actualités de 2024 en santé du sommeil 2024年睡眠健康新闻
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.221
Jean-Arthur Micoulaud-Franchi , Armelle Rancillac
{"title":"Actualités de 2024 en santé du sommeil","authors":"Jean-Arthur Micoulaud-Franchi ,&nbsp;Armelle Rancillac","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.221","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.221","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Pages 19-22"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508046","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Qui sont les insomniaques somnolents ? Une opportunité de démêler la relation complexe entre l’insomnie et la somnolence dans une cohorte numérique 谁是嗜睡症患者?这是解开数字群体中失眠和嗜睡之间复杂关系的机会
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.021
Julien Coelho , Florian Pécune , Alex Chanteclair , Etienne De Sevin , Emmanuel D’incau , Patricia Sagaspe , Jean-Arthur Micoulaud-Franchi , Pierre Philip
{"title":"Qui sont les insomniaques somnolents ? Une opportunité de démêler la relation complexe entre l’insomnie et la somnolence dans une cohorte numérique","authors":"Julien Coelho ,&nbsp;Florian Pécune ,&nbsp;Alex Chanteclair ,&nbsp;Etienne De Sevin ,&nbsp;Emmanuel D’incau ,&nbsp;Patricia Sagaspe ,&nbsp;Jean-Arthur Micoulaud-Franchi ,&nbsp;Pierre Philip","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.021","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.021","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>L’insomnie et la somnolence sont fréquemment associées même si elles font intervenir des mécanismes physiologiques différents, voire opposés. Leur co-occurrence paradoxale et leur relation complexe en l’absence de troubles du sommeil ou de troubles psychiatriques ont jusqu’à présent été peu étudiées. L’application KANOPÉE, qui propose des interactions avec un compagnon virtuel pour collecter des données sur le sommeil et formuler des recommandations comportementales personnalisées pour améliorer le sommeil sur 17<!--> <!-->jours, offre une belle opportunité pour étudier la relation complexe entre insomnie et somnolence.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Cohorte numérique de 18 522 participants remplissant des questionnaires subjectifs en trois vagues sur leurs symptômes d’insomnie (ISI) et de somnolence (Epworth), en plus du dépistage de l’apnée obstructive du sommeil (NoSAS), du syndrome des jambes sans repos et de la dépression (PHQ-9). Un <em>Cross-Lagged Panel Model</em> à intercept aléatoire (RI-CLPM) a été réalisé pour explorer les associations longitudinales entre l’insomnie et la somnolence. Les modifications de l’insomnie et de la somnolence au cours du suivi ont été représentées à l’aide de la moyenne et de son intervalle de confiance (<em>bootstrap</em>) à chaque temps de suivi.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>À l’inclusion, 6345 (34 %) participants n’ont signalé ni insomnie ni somnolence, 4595 (25 %) étaient insomniaques, 3411 (18 %) étaient somnolents, 3916 (21 %) étaient insomniaques somnolents modérés et 255 (1 %) étaient insomniaques somnolents sévère (<span><span>Fig. 1</span></span>). La moitié des insomniaques somnolents modérés et les trois quarts des insomniaques somnolents sévères avaient une comorbidité expliquant la co-occurrence insomnie-somnolence. L’affection comorbide la plus répandue était la dépression (35 % des insomniaques somnolents modérés et 69 % des insomniaques somnolents sévères). L’insomnie et la somnolence avaient une relation en forme de U dans les analyses transversales. Nous n’avons trouvé aucune association longitudinale entre l’insomnie et la somnolence. Tous les profils de participants avaient une amélioration de leurs plaintes de sommeil au cours du suivi. Les patients très symptomatiques avaient la plus grande amélioration.</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>La relation entre insomnie et somnolence n’est pas linéaire : elles sont positivement associées jusqu’à un certain stade où elles deviennent incompatibles, en dehors des troubles du sommeil ou psychiatriques. Par ailleurs, elles répondent positivement à une intervention d’éducation à la santé du sommeil.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Pages 32-33"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508363","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Phénotypes de pratique d’activité physique dans le syndrome d’apnées obstructives du sommeil 阻塞性睡眠呼吸暂停综合征中体育活动的表型
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.022
Monique Mendelson, Sébastien Baillieul, Raphaël Louis, Kaiping Wang, Renaud Tamisier, Jean-Louis Pépin, Sébastien Bailly
{"title":"Phénotypes de pratique d’activité physique dans le syndrome d’apnées obstructives du sommeil","authors":"Monique Mendelson,&nbsp;Sébastien Baillieul,&nbsp;Raphaël Louis,&nbsp;Kaiping Wang,&nbsp;Renaud Tamisier,&nbsp;Jean-Louis Pépin,&nbsp;Sébastien Bailly","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.022","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.022","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie hétérogène avec de multiples causes et de nombreuses conséquences. Alors que la pratique régulière d’activité physique (AP) apparaît comme un élément central dans le contrôle de sa sévérité, celle-ci n’entre pas en compte dans l’évaluation initiale. L’objectif de cette étude est d’explorer l’hétérogénéité de la pratique d’AP des patients ayant un SAOS en identifiant des phénotypes de patients et d’évaluer leur lien avec la sévérité du SAOS.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Cette étude est réalisée à partir de données d’une cohorte clinique prospective. L’AP des patients a été évaluée avec le Global Physical Activity Questionnaire (GPAQ), qui permet de recueillir des informations sur la pratique d’AP dans trois situations (AP au travail, AP de déplacement, AP de loisirs) ainsi que sur les comportements sédentaires. La sévérité du SAOS est évaluée par l’index d’apnées hypopnées (IAH) à partir d’une polysomnographie. Tous les patients ayant un IAH<!--> <!-->≥<!--> <!-->5 événements par heure ont été inclus. Une méthode de <em>clustering</em> non supervisée (analyse en classe latente) a été utilisée et les phénotypes ont été comparés entre eux.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Au total, 1167 SAOS ont été considérés au diagnostic, ils sont majoritairement masculins (58 %) avec un âge médian de 54 ans [44–65] au diagnostic et un BMI médian de 28<!--> <!-->kg/m<sup>2</sup> [24–32]. Quatre phénotypes ont été identifiés en fonction de leur pratique : (1) AP vigoureuse en loisir (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->186, 15,9 %) ; (2) AP vigoureuse au travail (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->211, 18,1 %) ; 3) AP modérée (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->412, 35,3 %) ; et (4) absence de pratique d’AP (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->358, 30,7 %). Les patients pratiquant une AP vigoureuse en loisir avaient un IAH significativement plus bas que les trois autres phénotypes ; la différence la plus importante était entre le groupe ne pratiquant pas d’AP et celui pratiquant de l’AP vigoureuse de loisir (IAH médian de 21 contre 15 évènements par heure, valeur de <em>p</em> <!-->&lt;<!--> <!-->0,001).</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>Cette étude a mis en évidence quatre phénotypes de pratique d’AP distincts parmi les individus présentant un SAOS. La pratique d’AP vigoureuse en loisir est associée avec la plus faible sévérité de SAOS.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Page 33"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508364","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Reproductibilité test-retest des critères alternatifs des tests itératifs de latence d’endormissement dans les hypersomnolences d’origine centrale 可重复性测试中心起源的睡眠延迟迭代测试的替代标准
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.006
Claire Denis , Alexandre Derre , Séverine Beziat , Sofiène Chenini , Isabelle Jaussent , Yves Dauvilliers , Lucie Barateau
{"title":"Reproductibilité test-retest des critères alternatifs des tests itératifs de latence d’endormissement dans les hypersomnolences d’origine centrale","authors":"Claire Denis ,&nbsp;Alexandre Derre ,&nbsp;Séverine Beziat ,&nbsp;Sofiène Chenini ,&nbsp;Isabelle Jaussent ,&nbsp;Yves Dauvilliers ,&nbsp;Lucie Barateau","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.006","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.006","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>Le diagnostic de la narcolepsie de type 1 (NT1), de type 2 (NT2), et de l’hypersomnie idiopathique (HI) nécessite la réalisation de tests itératifs de latence d’endormissement (TILE). Il existe une importante variabilité test-retest des critères TILE standards (latence d’endormissement moyenne et présence d’endormissement en sommeil paradoxal [SP] dans les 15<!--> <!-->min suivant l’endormissement [SOREM]). Certains critères alternatifs des TILE récemment étudiés (comme la durée moyenne du SP [DMSP]) permettent de distinguer les patients orexine-déficients avec une meilleure sensibilité et spécificité que les critères standards. Notre objectif est d’évaluer la reproductibilité test-retest de ces critères alternatifs.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Cent trente-sept patients avec une plainte d’hypersomnolence ont bénéficié de deux polysomnographies (PSG) suivies de TILE, en condition non traitée. Les diagnostics de NT1, NT2, HI et somnolence non-spécifiée (NSH) étaient basés sur les critères ICSD-3 usuels (PSG/TILE) et le taux d’orexine (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->85). Les 20 premières minutes des TILES ont été extraites et analysées.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>À la première visite(V1), 46 patients étaient NT1, 33 NT2, 18 HI et 40 NSH. À V2, 46 étaient NT1, 13 NT2, 22 HI et 56 NSH. Les résultats des TILE étaient peu reproductibles entre les deux évaluations pour les NT2 et HI (27 % et 39 % seulement gardaient les mêmes critères diagnostics avec les standards actuels) et 78 % pour les NT1. Parmi les critères alternatifs, 34/46 patients NT1 avaient une DMSP<!--> <!-->≥<!--> <!-->4,1<!--> <!-->min à V1, et 85 % d’entre eux à V2 (Kappa<!--> <!-->=<!--> <!-->51 % IC-95<!--> <!-->=<!--> <!-->[23 ; 79 %]) ; à l’inverse 99 % des non-NT1 n’avaient ce critère ni à V1 ni à V2. Chez les NT1 avec<!--> <!-->≥<!--> <!-->1 endormissement direct en SP (diREM) à V1 (40/46), 90 % avaient<!--> <!-->≥<!--> <!-->1diREM à V2 (Kappa<!--> <!-->=<!--> <!-->23 % IC-95<!--> <!-->=<!--> <!-->[–14 ; 61 %]) ; chez les non-NT1 sans diREM à V1 (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->61), 82 % n’avaient pas de diREM à V2. Parmi les patients narcoleptiques, une DMSP<!--> <!-->≥<!--> <!-->5,7<!--> <!-->min était retrouvée chez 26 NT1, dont 73 % étaient concordants à V2 (Kappa<!--> <!-->=<!--> <!-->43 % IC-95<!--> <!-->=<!--> <!-->[17 ; 69 %]) ; tous les NT2 avec DMSP<!--> <!-->&lt;<!--> <!-->5,7<!--> <!-->min (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->29) étaient concordants à V2 (Kappa<!--> <!-->=<!--> <!-->84 % IC-95<!--> <!-->=<!--> <!-->[54 ; 100 %]).</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>Parmi les critères alternatifs au TILE permettant de distinguer les patients orexine-déficients des autres patients somnolents, la durée du SP et la présence de diREM restent concordantes sur deux évaluations, à l’inverse des critères standard du TILE.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Pages 25-26"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508615","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Mécanismes compensatoires et syndrome d’apnées obstructives du sommeil : contributions de données en IRM fonctionnelle sous pression positive continue 补偿性机制与阻塞性睡眠呼吸暂停综合征:连续正压下功能性核磁共振成像的数据贡献
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.003
Apolline Durtette , Audrey Henry , Christophe Portefaix , Sarah Barriere , Arthur Kaladjian , Laurent Pierot , Gaëtan Deslée , Fabien Gierski , Claire Launois
{"title":"Mécanismes compensatoires et syndrome d’apnées obstructives du sommeil : contributions de données en IRM fonctionnelle sous pression positive continue","authors":"Apolline Durtette ,&nbsp;Audrey Henry ,&nbsp;Christophe Portefaix ,&nbsp;Sarah Barriere ,&nbsp;Arthur Kaladjian ,&nbsp;Laurent Pierot ,&nbsp;Gaëtan Deslée ,&nbsp;Fabien Gierski ,&nbsp;Claire Launois","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.003","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.003","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie fréquente, qui est associée à une atteinte des fonctions cognitives. Il se caractérise par une fermeture répétée des voies aériennes supérieures (VAS) au cours du sommeil. Il résulte en partie d’anomalies anatomiques au niveau des VAS qui constituent alors une charge inspiratoire sur ces-dernières. La pression positive continue (PPC), traitement de référence du SAOS, permet de réduire cette dite charge. Des travaux antérieurs en électroencéphalographie ont mis en évidence, à l’éveil, une activation de circuits corticaux prémoteurs liés à la respiration chez des patients SAOS, activation similaire à celle observée chez des sujets sains soumis à une charge inspiratoire expérimentale. Nous formulons l’hypothèse que la charge inspiratoire présente au niveau des VAS des patients SAOS, en activant ces réseaux corticaux moteurs liés à la respiration, pourrait altérer les performances cognitives exécutives.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Pour tester cette hypothèse, nous avons demandé à 21 patients SAOS (indice d’apnées-hypopnées<!--> <!-->=<!--> <!-->47,2<!--> <!-->±<!--> <!-->18,1) et 7 sujets témoins de réaliser, dans un scanner IRM, une tâche N-Back, évaluant l’attention (N0, ligne de base) et la mémoire de travail (N1 et N2). Le test a été réalisé avec et sans PPC de manière randomisée. Les groupes SAOS et témoins ont été appariés sur l’âge, le sexe et le niveau d’étude.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Les premiers résultats révèlent une suractivation de plusieurs régions cérébrales chez les participants SAOS en condition « sans PPC » comparativement aux témoins, ce pour les contrastes N1<!--> <!-->&gt;<!--> <!-->N0 (gyrus lingual, <em>p</em> <!-->=<!--> <!-->0,002) et N2<!--> <!-->&gt;<!--> <!-->N0 (sillon temporal supérieur, <em>p</em> <!-->=<!--> <!-->0,024). Aucune différence significative d’activation n’a été observée dans la condition « avec PPC », et les performances comportementales étaient comparables entre les groupes.</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>Ces résultats préliminaires suggèrent que la suractivation de certaines régions cérébrales sans PPC reflèterait la mise en place de mécanismes compensatoires neuronaux chez les patients SAOS.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Page 24"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508003","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Dormir, manger, bouger : trouver le bon rythme ! Enquête de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, Journée du Sommeil® 2024 睡觉、吃饭、运动:找到正确的节奏!国家睡眠和警觉性研究所调查,2024年睡眠日®
Médecine du Sommeil Pub Date : 2025-03-01 DOI: 10.1016/j.msom.2025.01.023
Claude Gronfier , Annabelle Labonne , Damien Davenne , Martine Duclos , Isabelle Poirot , Alexandre Dakar , Didier Cugy , Marie Françoise Vecchierini , Lina Ying , Jean Arthur Micoulaud-Franchi , Marc Rey
{"title":"Dormir, manger, bouger : trouver le bon rythme ! Enquête de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, Journée du Sommeil® 2024","authors":"Claude Gronfier ,&nbsp;Annabelle Labonne ,&nbsp;Damien Davenne ,&nbsp;Martine Duclos ,&nbsp;Isabelle Poirot ,&nbsp;Alexandre Dakar ,&nbsp;Didier Cugy ,&nbsp;Marie Françoise Vecchierini ,&nbsp;Lina Ying ,&nbsp;Jean Arthur Micoulaud-Franchi ,&nbsp;Marc Rey","doi":"10.1016/j.msom.2025.01.023","DOIUrl":"10.1016/j.msom.2025.01.023","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><div>Explorer les liens entre sommeil, alimentation et activité physique pour adapter les messages de prévention.</div></div><div><h3>Méthodes</h3><div>Enquête réalisée du 7 au 15 décembre 2023 par OpinionWay (1001 personnes âgés de 18 à 65 ans), élaborée par le CS de l’INSV, basée sur 3 types de données : les habitudes de sommeil, l’alimentation (horaires et régularité des prises alimentaires), l’activité physique (AP) et la sédentarité (questionnaire activité physique et sédentarité développé et validé par l’ONAPS).</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Les Français dorment en moyenne 6<!--> <!-->h<!--> <!-->42 en semaine et 7<!--> <!-->h<!--> <!-->25 le week-end. Quarante-trois pour cent souffrent de troubles du sommeil, particulièrement les travailleurs en horaires décalés et les personnes atteintes de maladies chroniques. Le niveau de sédentarité est élevé (plus de 7<!--> <!-->h par jour) pour 54 % des sujets, mais l’activité physique régulière améliore significativement la qualité du sommeil. Les actifs (plus de 150<!--> <!-->min/semaine d’AP) ont plus souvent un sommeil de très bonne qualité que les inactifs. L’irrégularité de l’heure du dîner en semaine (19 % des sujets) est associée à une moins bonne qualité du sommeil. Une grande majorité des sujets reconnaît le rôle majeur du sommeil dans les performances intellectuelles et physiques (80 et 72 % respectivement) à coté de l’alimentation (56 et 68 %) et de l’AP (48 et 63 %).</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>L’enquête confirme que « Manger, bouger, dormir » constituent les trois déterminants majeurs de la santé. Elle souligne l’importance d’adopter des habitudes régulières en matière de sommeil, d’activité physique et d’alimentation. L’intégration de ces 3 piliers dans les campagnes de prévention est essentielle pour promouvoir une meilleure hygiène de vie.</div></div>","PeriodicalId":100905,"journal":{"name":"Médecine du Sommeil","volume":"22 1","pages":"Page 33"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"143508365","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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