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Reproductibilité des lésions élémentaires échographiques du rhumatisme psoriasique et développement d’un atlas : résultats de l’étude multicentrique ECHO-APACHE 银屑病关节炎超声病变的再现性和图集的编制:ECHO-APACHE 多中心研究的结果
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.335
S. Jousse Joulin , D. Maria-Antonietta , G. Mouterde , E. Naredo , L. Gossec , C. Gaujoux-Viala , P. Goupille , D. Wendling , F. Berenbaum , A. Constantin , P. Richette , V. Devauchelle Pensec , B. Combe , D. Simon , C. Villoutreix , K. Louati , A. Molto , S. Ottaviani , S. Mammou Mraghni , A. Amazougan , P. Claudepierre
{"title":"Reproductibilité des lésions élémentaires échographiques du rhumatisme psoriasique et développement d’un atlas : résultats de l’étude multicentrique ECHO-APACHE","authors":"S. Jousse Joulin , D. Maria-Antonietta , G. Mouterde , E. Naredo , L. Gossec , C. Gaujoux-Viala , P. Goupille , D. Wendling , F. Berenbaum , A. Constantin , P. Richette , V. Devauchelle Pensec , B. Combe , D. Simon , C. Villoutreix , K. Louati , A. Molto , S. Ottaviani , S. Mammou Mraghni , A. Amazougan , P. Claudepierre","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.335","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.335","url":null,"abstract":"<div><h3>Introduction</h3><div>La synovite, l’enthésite et la dactylite sont des lésions clés dans le rhumatisme psoriasique (RPso). L’échographie (US) est utile pour les évaluer mais cet examen est mal-codifié dans le RPso.</div></div><div><h3>Objectifs</h3><div>1. Évaluer la reproductibilité intra et inter-lecteurs des lésions élémentaires du RPso classiques (synovites, ténosynovites, enthésites) (1) et celles de la dactylite selon l’OMERACT (2) ; 2. Évaluer l’utilité d’une formation à la lecture des images ; 3. Créer un atlas échographique des lésions typiques du RPso.</div></div><div><h3>Patients et méthodes</h3><div>Apache est une cohorte française prospective, multicentrique de RPso débutant (Clinical trial.gov <span><span>NCT03768271</span><svg><path></path></svg></span>). Une étude ancillaire ECHO-APACHE a permis d’analyser la reproductibilité des lésions US du RPso. Les données analysées étaient des images de synovites, tenosynovites, enthesites et dactylites de patients ayant un RPso certain, dans 26 centres de rhumatologie en France en 2020. Les images US ont été centralisées, les images de qualité ont été sélectionnées par 4 experts. La lecture des images s’est faite selon un protocole US standardisé pour évaluer les lésions élémentaires du RPso selon l’OMERACT (1) : synovite, ténosynovite, enthésite et les lésions de la dactylite (une atteinte des tissus mous et une lésion élémentaire parmi : synovite, ténosynovites, enthesites et paratendinite). Pour l’étape 1, dans chaque centre participant (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->26), deux échographistes ont été recruté : un échographiste dit expert et un échographiste moins expérimenté (Co-APACHE). Une double analyse de chaque image par l’échographiste expert a permis de regarder la reproductibilité intra-lecteur et la comparaison des lecteurs a mené à une reproductibilité inter-lecteur. Une formation en visioconférence entre experts et Co-APACHE avec implémentation de nouvelles images par les centres et l’inclusion de 4 nouveaux centres a été suivie d’une nouvelle étape d’évaluation de reproductibilité entre experts et Co-APACHE (étape 2). L’étape 3 a consisté en une nouvelle formation ciblée uniquement sur des images de dactylite. 25 échographistes référents et 19 co-APACHE y ont participé. La reproductibilité intra et inter-lecteurs a été évaluée avec le coefficient Kappa de Light basé sur une moyenne des kappas de Cohen.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Vingt-neuf centres français ont participé entre 2020 et 2024. À l’étape 1, 51 images sur 160 ont été retenues par les experts (10 synovites, 13 enthesites, 14 tenosynovites, 14 dactylites). À l’étape 2, 91 images sur 178 ont été sélectionnées (19 synovites, 20 enthesites, 22 ténosynovites, et 30 dactylites). Avant formation des échographistes, la reproductibilité intra-lecteurs était bonne sur les lésions de synovites, ténosynovites, enthesites et modérée en inter-lecteurs voire médiocre pour les dactylites (<span><span>Tableau 1</s","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A51-A52"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719071","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Résultats de phase 2 d’efficacité et de tolérance jusqu’à 52 semaines de l’ianalumab, anti-BAFF récepteur (BAFF-R), chez les patients atteints de lupus érythémateux systémique (LES) 抗BAFF受体(BAFF-R)的伊那鲁单抗(ianalumab)治疗系统性红斑狼疮(SLE)患者52周的第二阶段疗效和安全性结果
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.385
Z. Amoura , N. Agmon-Levin , S. Ignatenko , J. Cortes-Hernandez , A. Gordienko , P. Narongroeknawin , K. Romanowska-Prochnicka , N. Shen , H. Ciferska , M. Kodera , C.C. Wei , P. Leszczynski , J.L. Lan , E. Mysler , R. Wojciechowski , T. Tarr , E. Vishneva , Y.H. Chen , Y. Kaneko , S. Finzel , S. Oliver
{"title":"Résultats de phase 2 d’efficacité et de tolérance jusqu’à 52 semaines de l’ianalumab, anti-BAFF récepteur (BAFF-R), chez les patients atteints de lupus érythémateux systémique (LES)","authors":"Z. Amoura , N. Agmon-Levin , S. Ignatenko , J. Cortes-Hernandez , A. Gordienko , P. Narongroeknawin , K. Romanowska-Prochnicka , N. Shen , H. Ciferska , M. Kodera , C.C. Wei , P. Leszczynski , J.L. Lan , E. Mysler , R. Wojciechowski , T. Tarr , E. Vishneva , Y.H. Chen , Y. Kaneko , S. Finzel , S. Oliver","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.385","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.385","url":null,"abstract":"<div><h3>Introduction</h3><div>L’ianalumab est un nouvel Ac monoclonal IgG1 humain défucosylé ciblant le BAFF-R, induisant à la fois une déplétion augmentée (afucosylée) des cellules B via la voie ADCC et un blocage de la voie de signalisation BAFF/BAFR. Nous rapportons ici les résultats jusqu’à 52 semaines (S) de l’étude de phase 2 CVAY736X22028, multicentrique, randomisée en groupes parallèles contrôlée vs placebo (PLB) évaluant le ianalumab chez les patients (pts) atteints de LES.</div></div><div><h3>Patients et méthodes</h3><div>Les pts ont été randomisés 1:1 sous ianalumab 300<!--> <!-->mg sc toutes les 4 semaines ou PLB. De S28 à S48, tous les pts ont reçu ianalumab en ouvert puis ont été suivis après l’arrêt du traitement pendant au moins 12 semaines. Nous rapportons ici l’analyse des patients ayant complétés les 68 semaines de l’étude. Ont été inclus des patients répondant aux critères de de classification ACR SLE de 1997, avec ANA<!--> <!-->≥<!--> <!-->1:80, SLEDAI-2K<!--> <!-->≥<!--> <!-->6, BILAG-2004<!--> <!-->≥<!--> <!-->1A ou<!--> <!-->≥<!--> <!-->2B. Le critère principal composite à S28 était la réponse SRI-4 et une réduction des corticoïdes (CO)<!--> <!-->≤<!--> <!-->5<!--> <!-->mg/j de S16 à S28. À S52, pour ce critère composite était pris en compte une réduction des CO maintenue entre S40 et S52. Les autres critères d’évaluation comprenaient : SRI-4,-6,-8, incidence des poussées BILAG-2004, LLDAS, DORIS rémission, tolérance, marqueurs biologiques du nombre de cellules B et de l’activation immunitaire.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Entre le 19/12/2018 et le 31/12/2022, ont été inclus 67 pts, avec respectivement pour les groupes ianalumab et PLB un âge médian de 42 et 39 ans, un SLEDAI-2K médian de 10 (6–32) et 10 (4–18) et une dose médiane de prednisone de 10,0<!--> <!-->mg (0–30,0) et 10,0<!--> <!-->mg (0–27,5). La proportion de pts atteignant le critère composite SRI-4<!--> <!-->+<!--> <!-->CO à S28 était de 44,1 % (15/34) sous ianalumab vs 9,1 % (3/33) sous PLB. À S52, le taux de réponse composite était de 45,5 % (15/33) chez les pts ayant poursuivi l’ianalumab et de 40,6 % (13/32) pour ceux switchés du PLB à l’ianalumab. Une amélioration des autres critères d’évaluation et des concentrations sériques du complément et des autoanticorps a été observée entre S28 et S52 (<span><span>Tableau 1</span></span>, <span><span>Fig. 1</span></span>). Parmi les pts randomisés initialement sous ianalumab, le nombre d’EIG rapportés était : traitement en aveugle <em>n</em> <!-->=<!--> <!-->1, période ouverte <em>n</em> <!-->=<!--> <!-->2 et période de suivi de l’innocuité <em>n</em> <!-->=<!--> <!-->3 ; aucun n’a été considéré comme lié au traitement. Deux arrêts liés à des EI non graves sont survenus au cours de la période en ouvert (ianalumab : sclérodermie en plaque ; placebo/ianalumab : aggravation du LES). Les autres causes d’arrêt étaient décision du pt (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->2), pandémie (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->1) e","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A90-A92"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719905","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Inhibiteurs de JAK en pratique courante dans la polyarthrite rhumatoïde JAK 抑制剂在类风湿关节炎中的应用
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.357
O. Al Tabaa , S. Abdellaoui , S. Hecquet , M. Thomas , S. Carvès , A. Combier , O. Fogel , Y. Allanore , J. Avouac
{"title":"Inhibiteurs de JAK en pratique courante dans la polyarthrite rhumatoïde","authors":"O. Al Tabaa , S. Abdellaoui , S. Hecquet , M. Thomas , S. Carvès , A. Combier , O. Fogel , Y. Allanore , J. Avouac","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.357","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.357","url":null,"abstract":"<div><h3>Introduction</h3><div>Les inhibiteurs de JAK (JAKi) sont utilisés dans la PR en pratique courante depuis maintenant plusieurs années, avec une arrivée progressive sur le marché de 4 molécules. L’utilisation des JAKi a été également freinée par différentes alertes successives de tolérance ayant restreint leur utilisation chez des patients âgés ou porteurs de facteurs de risque. L’objectif de ce travail était d’étudier le maintien thérapeutique des 4 JAKI disponibles ainsi que leur efficacité et tolérance en pratique courante dans la PR.</div></div><div><h3>Patients et méthodes</h3><div>Étude rétrospective monocentrique ayant inclus l’ensemble des patients atteints de PR ayant reçu un premier JAKI entre avril 2018 et juin 2022. Le critère de jugement principal était l’analyse du maintien thérapeutique à 12 et 24 mois (courbe de survie de Kaplan-Meyer). Les critères secondaires étaient 1/l’efficacité des JAKi et de chacune des molécules à 6 mois et lors de la dernière visite disponible (jusqu’en juin 2024) évaluée sur le score DAS28-CRP (test des rangs signés de Wilcoxon) et 2/le recueil des arrêts de traitement pour inefficacité et intolérance.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Nous avons inclus 108 patients (91 femmes, 84 %) traités par JAKi avec un âge moyen de 57<!--> <!-->±<!--> <!-->14 ans et une durée de la maladie de 19<!--> <!-->±<!--> <!-->12 ans ; les facteurs rhumatoïdes et les ACPA étaient positifs chez 91 (84 %) et 95 (88 %) patients respectivement, 83 (77 %) présentaient des érosions et 37 (34 %) des atteintes extra-articulaires (<span><span>Tableau 1</span></span>). Les JAKi ont été majoritairement utilisés en association à un csDMARD (83/108, 77 %) et au-delà de la 3<sup>e</sup> ligne de traitement ciblé (<span><span>Tableau 1</span></span>). Les caractéristiques des patients traités par les différents JAKi étaient globalement comparables et sont présentées dans le <span><span>Tableau 1</span></span>. Le maintien thérapeutique des JAKi était de 72 % à 12 mois et de 61 % à 24 mois. La durée médiane de survie du traitement était de 47 mois (<span><span>Fig. 1</span></span>). Le DAS28-CRP a été significativement réduit à la première visite (−1,46<!--> <!-->±<!--> <!-->0,28 par rapport à la visite d’inclusion, <em>p</em> <!--><<!--> <!-->0,001) et à la dernière visite ayant eu lieu en moyenne 21<!--> <!-->±<!--> <!-->15 mois après l’initiation du JAKi (−1,05<!--> <!-->±<!--> <!-->1,67 par rapport à la visite d’inclusion, <em>p</em> <!--><<!--> <!-->0,001) (<span><span>Tableau 2</span></span>). Cette diminution du DAS28-CRP semble être numériquement plus importante avec les JAKi plus sélectifs (upadacitinib, filgotinib) qu’avec le baricitinib et le tofacitinib. Quarante-cinq patients (42 %) ont interrompu le traitement par JAKi au cours du suivi (16 baricitinib, 53 %, 6 tofacitinib, 60 %, 21 upadacitinib, 44 %, 2 filgotinib, 10 %), dont 26 par manque d’efficacité et 15 pour intolérance. Parmi les effets secondaires d’","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A66-A67"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142720159","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Prescription de bDMARD/tsDMARD chez les patients ayant un rhumatisme inflammatoire chronique et un antécédent de cancer récent 慢性炎症性风湿病和近期癌症病史患者的 bDMARD/tsDMARD 处方
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.391
M. Dumont, T. Barnetche, E. Gefard-Gontier, R. Beinat, L. Luchetti, A. Badouraly, C. Jeannou, T. Naveau, F. De La Fuente, N. Mehsen, N. Poursac, M.E. Truchetet, C. Richez, T. Schaeverbeke, M. Kostine
{"title":"Prescription de bDMARD/tsDMARD chez les patients ayant un rhumatisme inflammatoire chronique et un antécédent de cancer récent","authors":"M. Dumont,&nbsp;T. Barnetche,&nbsp;E. Gefard-Gontier,&nbsp;R. Beinat,&nbsp;L. Luchetti,&nbsp;A. Badouraly,&nbsp;C. Jeannou,&nbsp;T. Naveau,&nbsp;F. De La Fuente,&nbsp;N. Mehsen,&nbsp;N. Poursac,&nbsp;M.E. Truchetet,&nbsp;C. Richez,&nbsp;T. Schaeverbeke,&nbsp;M. Kostine","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.391","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.391","url":null,"abstract":"<div><h3>Introduction</h3><div>Les données sur l’utilisation des b/tsDMARDs (<em>biologic/targeted Synthetic Disease-Modifying Antirheumatic Drugs</em>) chez les patients atteints de rhumatisme inflammatoire ayant un cancer récent (&lt;<!--> <!-->5 ans) sont limitées. L’objectif de cette étude était de rapporter leur prescription dans ce contexte spécifique.</div></div><div><h3>Patients et méthodes</h3><div>Une étude observationnelle a été menée en utilisant l’entrepôt de données du CHU de Bordeaux. Les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR), de spondyloarthrite (SpA) ou de rhumatisme psoriasique (Rpso) recevant un b/tsDMARD dans les cinq ans suivant un diagnostic de cancer ont été identifiés, et les données ont été recueillies via un formulaire standardisé. Une analyse descriptive a été réalisée, et les facteurs de changement de b/tsDMARD post-cancer ont été évalués.</div></div><div><h3>Résultats</h3><div>Cent trente-cinq patients (54,8 % de femmes, âge moyen 61 ans) atteints de PR (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->86), de SpA (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->34) ou de Rpso (<em>n</em> <!-->=<!--> <!-->15) ont été inclus. Les b/tsDMARDs étaient interrompus au diagnostic de cancer, sauf pour 32 patients ayant un cancer cutané non mélanique in situ. Le délai moyen entre le diagnostic du cancer et l’initiation ou la reprise du b/tsDMARDs était de 14,7 mois. Les anti-TNF étaient les thérapies les plus prescrites après le cancer (40 %), suivies du rituximab (24 %). Parmi les patients préalablement traités et dont le b/tsDMARD avait été interrompu au diagnostic du cancer, 39 (59 %) ont repris la même classe thérapeutique et 27 (41 %) ont changé après le cancer. Le changement de classe thérapeutique était plus fréquent chez les patients atteints de PR et chez ceux ayant une exposition plus courte aux b/tsDMARDs avant le cancer. Avec une médiane de suivi de 3,6 ans, 16 patients (15,5 %) ont présenté une récidive de cancer.</div></div><div><h3>Conclusion</h3><div>Les rhumatologues privilégient les anti-TNF et le rituximab comme b/tsDMARD après un cancer récent, avec une tendance à reprendre le b/tsDMARD interrompu pour les patients traités avant la prise en charge oncologique. Les futures recommandations de l’EULAR influenceront certainement ces pratiques<strong>.</strong></div></div>","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A96-A97"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142720183","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Facteurs cliniques et génétiques associés aux événements indésirables d’origine immunitaire rhumatologiques des inhibiteurs de checkpoint : une étude cas-témoins bicentrique 与检查点抑制剂引起的风湿免疫介导不良事件相关的临床和遗传因素:一项双中心病例对照研究
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.389
C. Jessen , B. Caroline , M. Eve , D. Boris , E. Ebstein , B.P. Florence , L. Semerano , S. Johanna
{"title":"Facteurs cliniques et génétiques associés aux événements indésirables d’origine immunitaire rhumatologiques des inhibiteurs de checkpoint : une étude cas-témoins bicentrique","authors":"C. Jessen ,&nbsp;B. Caroline ,&nbsp;M. Eve ,&nbsp;D. Boris ,&nbsp;E. Ebstein ,&nbsp;B.P. Florence ,&nbsp;L. Semerano ,&nbsp;S. Johanna","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.389","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.389","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Introduction&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Du fait de leurs mécanismes d’action, les inhibiteurs de points de contrôle immunitaires (ICI) peuvent provoquer des événements indésirables d’origine immunitaire (irAE). Les facteurs de risque de développer des irAE ne sont pas clairement établis, probablement du fait de la diversité des irAE, des cancers sous-jacents et des ICI. L’objectif de cette étude était d’identifier les facteurs cliniques, biologiques et génétiques associés à la survenue d’irAE rhumatologiques.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Matériels et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Il s’agit d’une étude cas-témoins menée dans deux centres hospitalo-universitaires d’Île de France. Deventy-seven patients ont été inclus. Les 31 cas ont été identifiés entre févier 2016 et avril 2024 dans les services de dermatologie, pneumologie et oncologie puis confirmés par un rhumatologue hospitalier. Les 46 témoins inclus consécutivement ont été appariés aux cas sur le type de cancer et le service de suivi. Ils devaient avoir un recul d’au moins 1 an de traitement par ICI et ne présenter aucun symptôme rhumatologique. La comparaison des caractéristiques cliniques et biologiques entre cas et témoins a été réalisée en analyse univariée à l’aide du test χ&lt;sup&gt;2&lt;/sup&gt;, du test exact de Fisher ou du test de Mann-Whitney. Les associations entre les différentes variables et l’apparition d’un irAE ont été testées par une régression logistique. Une stratification selon le genre a également été réalisée pour comparer la survenue d’irAE au fil du temps entre hommes et femmes à l’intérieur des cas.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Parmi les 31 cas (16 femmes, 15 hommes), 15 pseudopolyarthrites rhizoméliques, 4 polyarthrites rhumatoïdes, 4 spondyloarthrites, 5 myosites et 3 mono- ou bi-arthrite inclassées ont été identifiées. Les irAE sont survenus dans une médiane de 8 semaines après le début de l’ICI. Au cours du traitement, les femmes étaient plus à risque de développer un irAE que les hommes (&lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,008, test du Log-rank) (&lt;span&gt;&lt;span&gt;Fig. 1&lt;/span&gt;&lt;/span&gt;). La régression logistique a retrouvé une association indépendante entre la survenue d’irAE et le genre féminin (OR&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;3,55, &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,0001) et le traitement par anti-PD-L1 (OR&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;7,23, &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;&lt;&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,001). Les associations anti-PD1&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;+&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;anti-CTLA-4 et ICI&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;+&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;chimiothérapie, ainsi que l’âge n’étaient pas significativement associés à l’irAE (&lt;span&gt;&lt;span&gt;Fig. 2&lt;/span&gt;&lt;/span&gt;). L’analyse en sous-groupe chez les femmes a retrouvé une association indépendante entre la survenue d’un irAE et les anti-PD-L1 (OR&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;17,82 &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,007) et chez les patientes ayant plus 65 ans (OR&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;4,29, &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,033). Tous les cas pour lesquels un typage HLA (classe I et/ou classe II) a été réalisé (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;12), présentaient des terrains pr","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A94-A95"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719631","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Facteurs prédictifs de rechutes après l’arrêt des traitements chez les enfants présentant une AJI inactive sous b/ts-DMARDs : étude de cohorte rétrospective 服用b/ts-DMARDs的非活动性JIA患儿停止治疗后复发的预测因素:一项回顾性队列研究
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.363
V. Jallot , P. Dusser , V. Hentgen , S. Cavelot , I. Koné-Paut
{"title":"Facteurs prédictifs de rechutes après l’arrêt des traitements chez les enfants présentant une AJI inactive sous b/ts-DMARDs : étude de cohorte rétrospective","authors":"V. Jallot ,&nbsp;P. Dusser ,&nbsp;V. Hentgen ,&nbsp;S. Cavelot ,&nbsp;I. Koné-Paut","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.363","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.363","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Introduction&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Les modalités d’arrêt des traitements biologiques chez les patients atteints d’AJI en rémission sous traitement sont encore non consensuelles. À ce jour, il n’existe que quelques articles sur la meilleure façon d’arrêter les b/ts-DMARDs. L’objectif de l’étude est d’identifier des facteurs prédictifs de rechute après l’arrêt du b/ts-DMARD chez des patients atteints d’AJI en rémission sous traitement.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Matériels et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Il s’agit d’une étude rétrospective de patients atteints d’AJI qui répondaient aux critères de l’ILAR et qui ont arrêté leur b/ts-DMARD entre 2000 et 2023 dans des hôpitaux français. Les données utilisées sont issues de la cohorte JIR, un registre international multicentrique créé en 2013. La définition de la rémission était basée sur les critères de Wallace. Le critère d’évaluation principal a été défini comme l’absence ou la présence d’une rechute dans l’année suivant l’arrêt du traitement par b/ts-DMARD pour rémission. Une rechute a été définie comme le fait de ne plus remplir les critères de rémission dans l’année suivant l’arrêt du traitement par b-DMARD.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Dans deux centres principaux, 697 patients ont été traités pour une AJI pendant la période de l’étude. Cent quinze d’entre eux (16,5 %) répondaient aux critères d’inclusion (23,8 % oligo-JIA, 23,1 % poly-JIA, 14,6 % pso-JIA, 22,3 % ERA, et 16,2 % so-JIA). Cent trente arrêts de traitement ont été analysés : 70,8 % étaient des filles, avec un âge médian de 5,3 ans au moment du diagnostic. Les patients ont reçu de l’anakinra, du canakinumab, du tocilizumab, de l’étanercept, de l’adalimumab, de l’infliximab ou du baricitinib. Tous ont interrompu leur traitement après une durée médiane de 2,6 ans sous b/ts-DMARD. Au total, 56,2 % d’entre eux ont présenté une rechute dans l’année qui a suivi l’arrêt du traitement (le taux de rechute le plus élevé a été enregistré dans le groupe psoriasis avec un taux de 89,5 %, le plus faible dans le groupe AJI systémique avec un taux de 33,3 %). Des anticorps antinucléaires positifs au moment du diagnostic semblaient fortement associés à une plus grande probabilité de rechute (&lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;&lt;&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,05) ; au contraire, une longue rémission prolongée sous traitement avant l’arrêt du b/ts-DMARD était un facteur prédictif indépendant d’une diminution du risque de rechute.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Discussion&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;De nombreux travaux sont en cours afin de créer une nouvelle classification de l’AJI. La dernière révision (PRINTO) ne faisant actuellement pas l’objet d’un consensus. Les études sur les facteurs prédictifs pourraient contribuer aux nouvelles classifications et à l’élaboration de protocoles de suivi corrélés à la probabilité de rechute.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Conclusion&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Les données de cette cohorte ont montré 56 % de rechutes dans l’année suivant l’arrêt des b/ts-DMARD. Les patients atteints d’AJI systémique semblent présenter u","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A72-A73"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719720","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Facteurs de risque d’ostéoporose dans une cohorte de 1160 patients porteurs d’une gammapathie monoclonale de signification indéterminée 1160 名意义未定单克隆抗体病患者骨质疏松症的风险因素
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.307
E. Monnier, H. Racapé, E. Legrand, B. Bouvard
{"title":"Facteurs de risque d’ostéoporose dans une cohorte de 1160 patients porteurs d’une gammapathie monoclonale de signification indéterminée","authors":"E. Monnier,&nbsp;H. Racapé,&nbsp;E. Legrand,&nbsp;B. Bouvard","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.307","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.307","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Introduction&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;La gammapathie monoclonale de signification indéterminée (MGUS) est un facteur de risque de fracture ostéoporotique axiale et périphérique. Le rôle des caractéristiques de la gammapathie (type de chaîne et de chaîne légère, poids de la protéine monoclonale) sur le sur-risque de fracture diverge selon les études publiées jusqu’à présent, toutes rétrospectives. L’objectif de notre étude prospective était d’identifier les facteurs de risque d’ostéoporose dans une population de patients porteurs de MGUS très bien phénotypés sur le plan osseux et hématologique.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Patients et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;L’étude GREMOS (Gammapathie monoclonale et REModelage OSseux) est une étude prospective et monocentrique incluant des patients atteints de MGUS de découverte récente. Tous les patients ont eu le même bilan hématologique et osseux (données cliniques, données biologiques, radiographies du rachis, absorptiométrie bi-photonique à rayons X). Nous avons analysé les facteurs associés à l’ostéoporose densitométrique, aux fractures vertébrales ostéoporotiques et à l’ostéoporose globale (comportant les fractures et la densité osseuse basse) parmi les patients porteurs de MGUS IgM et les patients porteurs de MGUS non-IgM (IgG&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;+&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;IgA).&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;1160 patients ont été inclus : 620 hommes (53,4 %) et 540 femmes (46,6 %). L’âge moyen était de 67,8&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;11,9 ans. La répartition des MGUS était la suivante : 353 IgM (30,3 %), 606 IgG (52,3 %), 126 IgA (10,9 %), 75 avec double isotype de chaîne lourde (6,5 %) et 4 MGUS à chaînes légères. Les chaînes légères se répartissaient comme suit : 724 chaînes légères κ (62,4 %), 371 chaînes légères λ (32,0 %) et 65 associations κ&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;+&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;λ (5,6 %). 76 patients (6,6 %) avaient au moins une fracture vertébrale lombaire ou thoracique prévalente et 128 patients au total avaient au minimum une fracture ostéoporotique. 161 patients (13,9 %) avaient un T-score de DMO&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;≤&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;−2,5. Au total, 268 patients (23,1 %) avaient une ostéoporose globale. Dans les MGUS IgM et non IgM, le sexe féminin, l’âge et l’IMC étaient significativement et indépendamment associés au risque d’ostéoporose globale. Parmi les caractéristiques des MGUS, la concentration du pic monoclonal était également associée de manière indépendante au risque d’ostéoporose globale dans les MGUS IgM mais pas au risque de fracture vertébrale ni au risque d’ostéoporose densitométrique. Le T-score&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;≤&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;−2,5 et le TBS étaient associés à la prévalence des fractures vertébrales.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Discussion&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Le type de chaîne lourde et de chaîne légère n’est pas associé à l’ostéoporose. La protéine monoclonale pourrait être associée au risque d’ostéoporose dans les MGUS IgM mais nos résultats sont limités par le faible nombre de gammapathie avec pic monoclonal&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;&gt;&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;10&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;g/L et par la réalisation non sys","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Page A25"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719679","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Intérêt du dépistage de la pneumopathie interstitielle diffuse associée à la polyarthrite rhumatoïde par échographie pulmonaire en comparaison au scanner thoracique PO-PID 与 PO-PID 胸部扫描相比,使用肺部超声波筛查类风湿性关节炎相关弥漫性间质性肺病的价值
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.346
M. Piperno , N. Freymond , S. Si Mohamed , G. Balice , C. Chareton , E. Perrot , F. Coury-Lucas , E. Massy , D. Maucort-Boulch , C. Confavreux
{"title":"Intérêt du dépistage de la pneumopathie interstitielle diffuse associée à la polyarthrite rhumatoïde par échographie pulmonaire en comparaison au scanner thoracique PO-PID","authors":"M. Piperno ,&nbsp;N. Freymond ,&nbsp;S. Si Mohamed ,&nbsp;G. Balice ,&nbsp;C. Chareton ,&nbsp;E. Perrot ,&nbsp;F. Coury-Lucas ,&nbsp;E. Massy ,&nbsp;D. Maucort-Boulch ,&nbsp;C. Confavreux","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.346","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.346","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Introduction&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;L’atteinte pulmonaire est la plus fréquente des manifestations extra-articulaires de la polyarthrite rhumatoïde (PR), avec en particulier les pneumopathies interstitielles diffuses (PID) responsables d’une importante morbi-mortalité. Le gold-standard pour le dépistage des PID est le scanner thoracique haute résolution en coupes fines. L’objectif de ce travail est de démontrer que l’échographie pulmonaire plus accessible et non irradiante, est comparable au scanner haute résolution pour le dépistage des PR-PID.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Patients et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Des patients présentant une PR répondant aux critères ACR/EULAR 2010 naïfs de thérapie ciblée et ayant une indication d’introduction de thérapie ciblée, sans symptôme respiratoire ou maladie pulmonaire connus, ont eu le même jour une échographie pulmonaire et un scanner thoracique en coupes fines. Les scanners ont été évalués en aveugle par un seul observateur sur la présence d’une PID, la caractérisation du pattern pour les PIC, la sévérité de l’atteinte interstitielle (Score de Warrick) et les éventuelles autres atteintes pulmonaires. Les échographies ont été réalisées en aveugle avec comptage des lignes B sur 14 espaces intercostaux et étude de la régularité de la ligne pleurale. Le diagnostic de PID était retenu si le nombre total de lignes B était&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;≥&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;6 et la PID était considérée comme « légère » entre 6 et 15, « modérée » entre 16 et 30 et « marquée » à partir de 31 lignes B.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Au total, 33 patients (21 femmes, 56,3&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;14,4&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;ans) présentant une PR évoluant depuis 5,8&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;5,4&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;ans, avec un DAS 28 à 3,8&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1,4 ont été inclus. 7 patients (21 %) avaient un syndrome interstitiel au scanner et 10 patients (30 %) à l’échographie. Par rapport au scanner, la sensibilité de l’échographie était de 86 %, la spécificité de 85 %, la valeur prédictive (VP) positive de 60 % et la VP négative de 96 %.&lt;/div&gt;&lt;div&gt;Une seule patiente présentait une échographie négative (5 lignes B), mais une PIC indéterminée au scanner avec des plages de verre dépoli et des réticulations sous pleurales, localisées en zone para-médiastinale, région non accessible en échographie.&lt;/div&gt;&lt;div&gt;La durée moyenne de réalisation de l’échographie était de 12,53&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1,61&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;minutes (min&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;10, max&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;16&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;minutes). Les facteurs associés à la présence d’un syndrome interstitiel en régression logistique univariée étaient l’âge (OR 1,15 ; IC95 % 1,02–1,30), le sexe masculin (OR : 20 ; IC95 % 2–200,5) et le taux de facteur rhumatoïde (OR 1,01 ; IC95 % 1,00–1,02). Le tabagisme, le DAS28 et le HAQ n’étaient pas corrélés à la présence d’une PID.&lt;/div&gt;&lt;div&gt;Parmi les patients atteints de PID au scanner, le score de sévérité de Warrick était de 7,29&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;±&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;4,46.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Conclusion&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;L","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Page A60"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142719787","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Rhumatismes inflammatoires et maladies inflammatoires systémiques apparaissant sous biothérapies de l’asthme 哮喘生物疗法中出现的炎症性风湿病和全身性炎症性疾病
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.381
A. Gandiolle , C. Taille , B. De Maleprade , N. Khayath , C. Wirth , P. Mertz , E. Sebbag , J. Blaess , M. Scherlinger , S. Habib , M. Forien , J.E. Gottenberg , M. Batoule , E. Minichiello , J. Terrier , C. Taraud , J.S. Allain , D. Do , C. Barnig , C. Salliot , A. Meyer
{"title":"Rhumatismes inflammatoires et maladies inflammatoires systémiques apparaissant sous biothérapies de l’asthme","authors":"A. Gandiolle ,&nbsp;C. Taille ,&nbsp;B. De Maleprade ,&nbsp;N. Khayath ,&nbsp;C. Wirth ,&nbsp;P. Mertz ,&nbsp;E. Sebbag ,&nbsp;J. Blaess ,&nbsp;M. Scherlinger ,&nbsp;S. Habib ,&nbsp;M. Forien ,&nbsp;J.E. Gottenberg ,&nbsp;M. Batoule ,&nbsp;E. Minichiello ,&nbsp;J. Terrier ,&nbsp;C. Taraud ,&nbsp;J.S. Allain ,&nbsp;D. Do ,&nbsp;C. Barnig ,&nbsp;C. Salliot ,&nbsp;A. Meyer","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.381","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.381","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Patients et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Sous l’égide du réseau F-CRIN, les médecins inscrits dans les réseaux CRI-IMIDIATE, CRISALIS (réseau national de recherche clinique sur l’asthme sévère) et FRADEN (réseau FRench de DErmatite atopique) ont été invités à déclarer les patients : i) diagnostiqués avec un RI/MIS ; ii) après l’introduction d’une biothérapie pour un asthme ou une maladie apparentée (asthme/MA).&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Quarante neufs patients ont été déclarés. Vingt-trois ont été exclus, le plus souvent car ils présentaient une pathologie rhumatologique non inflammatoire (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;19). Vingt-six patients atteints de RI/MIS ont été inclus (62 ans (extrêmes 25–84), sexe-ratio 12&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;H/14&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;F). Ils étaient traités par dupilumab (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;15), mépolizumab (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;9), benralizumab (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1) et omalizumab (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1) initié 11 mois (1–86) avant l’apparition des premiers signes de RI/MIS, pour un asthme (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;19), une dermatite atopique (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;4) ou une polypose nasosinusienne (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;3). Les diagnostics de RI/MIS retenus étaient : polyarthrite rhumatoïde (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;13, 50 % dont &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;5 FR+ et &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;6 CCP+), pseudo-polyarthrite rhizomélique (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;5, 19,2 %), spondyloarthrite (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;2, 7,7 %), rhumatisme psoriasique (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;2, 7,7 %), sarcoïdose (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1, 3,9 %), RS3PE (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;1, 3,9 %) et RI aigu (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;2, 7,7 %). La biothérapie de l’asthme/MA a été suspendue chez 11 patients (42 %). Sept (63,6 %) ont présenté une rechute de l’asthme/MA (contre 1 [3,9 %] dans le groupe poursuite de la biothérapie, &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,0033). La majorité des patients ayant rechuté à l’arrêt de la biothérapie présentait un asthme (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;4, 57 %). Au dernier suivi (8 mois, extrêmes 1–92), deux tiers des patients ayant suspendu la biothérapie de l’asthme/MA (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;7, 64 %) avaient de nouveau une biothérapie, réintroduite dans un délai de 2 mois (extrêmes 0–19) (même biothérapie de l’asthme/MA &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;2, autre biothérapie &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;6). Aucun patient n’a présenté une amélioration du RI/MIS pendant la période d’arrêt de la biothérapie sans traitement spécifique du RI/MIS. Un traitement pour le RI/MIS a été introduit chez tous les patients (csDMARDS : &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;21, 80,8 %, le plus souvent méthotrexate : &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;21, 80,8 % ; bDMARDS : &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;4, 15,4 %). Les traitements reçus pour le RI/MIS et leur efficacité étaient similaires dans le groupe ayant poursuivi la biothérapie de l’asthme et celui l’ayant arrêtée. Parmi les 22 patients ayan","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A86-A87"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142720028","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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Relation entre les résultats de l’échographie des glandes salivaires et l’immunologie dans le syndrome de Sjögren 斯约格伦综合征患者唾液腺超声检查结果与免疫学之间的关系
Revue du Rhumatisme (Edition Francaise) Pub Date : 2024-11-26 DOI: 10.1016/j.rhum.2024.10.338
B. Fernandes Esteves, M. Natal, L. Costa, R. Ferreira
{"title":"Relation entre les résultats de l’échographie des glandes salivaires et l’immunologie dans le syndrome de Sjögren","authors":"B. Fernandes Esteves,&nbsp;M. Natal,&nbsp;L. Costa,&nbsp;R. Ferreira","doi":"10.1016/j.rhum.2024.10.338","DOIUrl":"10.1016/j.rhum.2024.10.338","url":null,"abstract":"&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Introduction&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Le syndrome de Sjögren (SS) est une maladie inflammatoire chronique qui touche généralement les glandes salivaires. La plupart des patients présentent une immunologie positive, notamment des anticorps antinucléaires (ANA), anti-SSA et anti-SSB. L’évaluation échographique des glandes salivaires majeures (SGUS) a gagné en importance ces dernières années, car elle a montré des associations avec le profil immunologique et les résultats cliniques dans le SS. Le score OMERACT comprend une évaluation semi-quantitative de l’hétérogénéité du parenchyme des quatre glandes salivaires majeures, avec des scores allant de 0 (normal) à 3 (parenchyme pathologique sans zones normales). Un score&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;≥&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;2 est interprété comme un SGUS compatible avec le SS. Malgré sa haute sensibilité et spécificité, il existe encore peu d’études utilisant le score OMERACT pour rechercher une association entre le SGUS et les résultats immunologiques. Cette étude vise à caractériser les anomalies du SGUS trouvées chez les patients atteints de SS et à évaluer leur relation avec les autoanticorps.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Matériels et méthodes&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Notre étude est une étude observationnelle rétrospective. Les données sociodémographiques et le profil immunologique ont été recueillis chez tous les patients ayant subi un SGUS dans notre centre entre janvier 2023 et avril 2024. L’évaluation des glandes parotides et sous-maxillaires a été notée selon le score échographique OMERACT pour le SS. Seuls les patients atteints de SS primaire ou secondaire ont été inclus. Une analyse descriptive a été réalisée, avec une significativité statistique à &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;&lt;&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,05.&lt;/div&gt;&lt;/div&gt;&lt;div&gt;&lt;h3&gt;Résultats&lt;/h3&gt;&lt;div&gt;Quarante-six patients ont été inclus dans notre étude, dont 43 (93,5 %) étaient des femmes. L’âge moyen était de 59 (±13) ans. La plupart des patients étaient positifs aux ANA (84,8 % ; &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;39). Les anticorps anti-SSA ont été détectés chez 73,9 % (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;34) et les anticorps anti-SSB chez 34,8 % (&lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;16) des patients atteints de SS. Vingt-six (56,5 %) avaient un SGUS évocateur de SS, tandis que 14 (30,4 %) ne montraient aucun résultat pathologique au SGUS. En ce qui concerne les résultats du SGUS, la majorité des patients présentaient une atteinte bilatérale des glandes salivaires (65,2 % ; &lt;em&gt;n&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;30). Cette atteinte était statistiquement significative chez les patients avec des anticorps anti-SSA (&lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,022). Dix-huit (51,4 %) patients présentaient une atteinte de toutes les glandes, sans préférence entre l’atteinte parotidienne ou sous-maxillaire. En comparant le groupe de patients avec SGUS anormal et normal, nous avons constaté que la plupart des patients avec SGUS anormal étaient significativement associés à la positivité des ANA, des anticorps anti-SSA et anti-SSB (&lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;=&lt;!--&gt; &lt;!--&gt;0,013 ; &lt;em&gt;p&lt;/em&gt; &lt;!--&gt;","PeriodicalId":38943,"journal":{"name":"Revue du Rhumatisme (Edition Francaise)","volume":"91 ","pages":"Pages A53-A54"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2024-11-26","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"142720180","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
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