{"title":"Féminisme d’État, législation et mouvements sociaux en Turquie et en Grèce","authors":"Katerina Seraïdari","doi":"10.4000/CEB.9919","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/CEB.9919","url":null,"abstract":"Cet article examine les variations du fonctionnement du feminisme d’Etat dans deux pays « freres‑ennemis », la Turquie et la Grece, pendant deux periodes charnieres : les annees 1920‑1930, marquees par les reformes legislatives kemalistes et la modernisation de l’Etat dans ces deux pays, et les annees 1980 qui apportent des revisions au Code civil sous la pression du mouvement feministe. Ces juxtapositions montrent non seulement comment le droit constitue une construction sociale et politique malleable, mais aussi les rapports entre le feminisme d’Etat et le mouvement des femmes. Enfin, Winpeace, une ONG creee en 1996, qui rassemble des militantes grecques, turques et chypriotes, permet d’etendre cette analyse jusqu’aux annees 2000 – decennie definie par l’emergence d’un militantisme feministe pragmatique et bureaucratise.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475760","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"La Dobroudja au carrefour des Europes","authors":"Bernard Lory","doi":"10.4000/CEB.9573","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/CEB.9573","url":null,"abstract":"La Dobroudja est une region ou les relations roumano-grecques ont ete particulierement intenses. C’est, a l’echelle de l’Europe, une zone de contacts geographiques et historiques tres specifique.Dans une optique macrogeographique, l’article esquisse plusieurs approches possibles : une Dobroudja danubienne, pontique, steppique ou carpatique. Selon les epoques, les moyens de transport, les echanges commerciaux, les contraintes etatiques, ces differentes approches ont pese sur le destin de la region.La Dobroudja est ensuite consideree sous l’angle de la domination politique. Elle a longtemps ete dominee par une politique de comptoirs maritimes, tant dans l’Antiquite qu’au Moyen‑Âge. Dans une logique imperiale, on constate que le Danube a assez systematiquement constitue une limite septentrionale d’expansion, ce qui met la Dobroudja dans une position de marginalite. Dans le conflit entre l’Empire russe et l’Empire ottoman elle se transforme au contraire en terrain d’affrontement prefere. La logique des Etats‑nations a partir de la fin du xixe siecle place la Dobroudja au cœur du differend roumano-bulgare, et, pour le resoudre, on recourra a la mesure la plus extreme que les nationalismes aient mise au point : l’echange de populations. Il est a remarquer que l’echange de 1940 s’est revele beaucoup moins traumatisant que d’autres.Dans une troisieme partie, on suit le destin d’une famille de notables provinciaux, les Teodorov. Originaires de Bulgarie orientale, ils s’installent a Tulcea apres la guerre de Crimee et semblent avoir connu une forte hellenisation pendant une vingtaine d’annees. Les revirements politiques en 1877‑1878 remettent en question les allegeances nationales et une partie de la famille retourne vivre en Bulgarie, tandis que certains de ses membres restent en Roumanie.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70474997","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Réfugiés de la guerre civile grecque en Roumanie : moyens de communication, activité éditoriale, production radiophonique","authors":"Christina Alexopoulos","doi":"10.4000/ceb.9773","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/ceb.9773","url":null,"abstract":"Les communistes grecs partis dans les Republiques socialistes pendant ou apres la guerre civile grecque font publier leurs œuvres dans des conditions tres differentes de celles des communistes restes en Grece, condamnes a la clandestinite, mais avec comme point commun les pesanteurs multiples de diverses formes de censure ou d’autocensure. Une evocation des activites editoriales et radiophoniques des communistes grecs dans le bloc de l’Est permet de mieux cerner les positions ideologiques et les objectifs politiques qui determinent le discours des refugies et leurs pratiques de communication. Il s’agit alors de situer la politique de communication des refugies politiques en relation, d’abord avec l’experience de publication pendant la guerre civile, periode qui voit le deplacement de l’ensemble des activites editoriales et radiophoniques a Bucarest, puis en relation avec l’evolution de l’activite editoriale pendant les annees 1950 et 1960 en Roumanie, enfin dans une mise en relief des activites radiophoniques de la meme periode. Nous constatons une correspondance etroite entre les differentes modalites de communication a l’interieur de chacun des pays de l’Est, qu’il s’agisse de la presse, de la radio ou des œuvres litteraires publiees. S’il existe des particularites propres a la production de chaque pays d’accueil, il est interessant de relever la dissymetrie de l’ensemble de la production menee en exil, parfois dans une certaine sacralisation d’un passe coupe des changements politiques du pays d’origine, avec les activites editoriales et radiophoniques de la Grece, bien moins attachees a l’orthodoxie du Parti. A la fois tournee vers la Grece et prise dans une suspension du temps, la production de l’exil connait des evolutions propres au contexte des pays de l’Est tout en se voulant resolument centree sur la Grece, la ou les activites editoriales et radiophoniques de la gauche en Grece semblent integrer davantage la memoire de la guerre civile dans la narration de l’histoire du pays et dans les enjeux de son actualite.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475444","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Deux semaines en Roumanie avec Yorgos Théotokas","authors":"Georges Kostakiotis","doi":"10.4000/CEB.9998","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/CEB.9998","url":null,"abstract":"En 1962, a l’occasion de la commemoration en Roumanie du cinquantieme anniversaire de la mort de l’ecrivain‑dramaturge Ion Luca Caragiale, l’ecrivain Yorgos Theotokas a visite Bucarest et a sejourne en Roumanie pendant deux semaines.Ce voyage marquera Theotokas pour deux raisons. D’une part parce que c’est la premiere fois qu’il a l’occasion de voyager dans un pays communiste. La Roumanie sera son premier contact avec ce monde et, pour un homme qui a combattu le communisme avec acharnement, nous pouvons dire que ce voyage restera une etape importante dans ses experiences intellectuelles. D’autre part, la Roumanie devient pour Theotokas le lieu de rencontre avec le monde balkanique ; il a pu faire connaissance non seulement avec des intellectuels roumains, mais aussi avec des collegues serbes et bulgares.Nous essaierons d’esquisser ces deux aspects afin de comprendre, d’une part l’evolution de sa pensee politique, et d’autre part le role qu’il accorde a la Grece dans le monde des Balkans.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475966","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Grèce‑Roumanie II : histoires mêlées et regards croisés au xxe siècle","authors":"Cécile Folschweiller et Georges Kostakiotis","doi":"10.4000/CEB.9570","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/CEB.9570","url":null,"abstract":"Le dossier de ce numero poursuit et complete celui du numero 42 en offrant au lecteur les contributions apportees lors de la deuxieme journee d’etude consacree aux relations roumano‑grecques, organisee a l’Inalco avec le soutien du CREE (Centre de Recherche Europes‑Eurasie) en juin 2014. Constatant, a l’issue de la premiere rencontre, que les travaux, fort nombreux sur les liens unissant Grecs et Roumains, se faisaient plus rares au sujet du xxe siecle, c’est sur cette periode plus proche que...","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70474912","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Les études aroumaines en Grèce à l’heure européenne : quelques observations","authors":"S. Beis","doi":"10.4000/ceb.9793","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/ceb.9793","url":null,"abstract":"L’objectif de cette presentation est de faire le bilan des recherches sur les Aroumains et sur leur langue, realisees pendant la periode post‑1990, marquee par l’encouragement des etudes concernant les minorites dans tous les pays de l’Union europeenne. Nous avons traite des travaux effectues par des chercheurs grecs couvrant differentes disciplines : la linguistique, l’histoire et l’anthropologie. Nous avons tente de regrouper ces chercheurs selon les positions adoptees et leur poids critique par rapport a l’imaginaire grec. Si des progres ont ete faits en Grece dans le domaine de la description de la langue aroumaine, force est de constater aussi l’absence d’etudes portant sur l’evolution de l’identite aroumaine.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475219","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Les études aroumaines en Roumanie à l’heure européenne : quelques observations","authors":"Nicolas Trifon","doi":"10.4000/CEB.9806","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/CEB.9806","url":null,"abstract":"Les initiatives tous azimuts des Aroumains pour la promotion de leur langue et de leur culture apres 1990 ont ete plutot bien accueillies au debut en Roumanie. Le depot de la demande de reconnaissance de la minorite nationale aroumaine en 2005 va cependant provoquer une veritable levee des boucliers. Linguistes, historiens, hommes de lettres, reputes pour leurs travaux sur les Aroumains, souvent d’origine aroumaine, vont reagir vivement a ce tournant « national » de revendications identitaires qui couvaient depuis un moment. Comment interpreter cette reaction ? Quel peut etre son impact sur les etudes aroumaines dans ce pays ?","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475280","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Amours et politique ; les politiques de l’Amour : à propos de Popi de Teodor Scorțescu","authors":"Victor Ivanovici","doi":"10.4000/ceb.9608","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/ceb.9608","url":null,"abstract":"Dans ces pages, je me propose d’analyser la nouvelle Popi (1930) de Teodor Scorţescu (1893‑1976), auteur injustement oublie dans son pays, dans le but de deceler les lecons de relativisme culturel qui se degagent d’une histoire a sujet grec racontee par un Roumain. L’ouvrage nous propose une intrigue amoureuse se deroulant sur le fond de la grande « Discorde nationale » (Eθνικός Διχασμός), c’est-a-dire de la « haine farouche » qui, depuis la Grande Guerre, s’etait emparee de la Grece, la dechirant entre les partisans du roi Constantin et ceux du dirigeant liberal Eleftherios Venizelos. Un jeune Roumain, en voyage d’affaires dans ce pays humilie par la defaite et secoue par des convulsions revolutionnaires, observe les passions politiques effrenees de ses hotes, d’abord avec un detachement amuse, puis en apprenant a les mettre a profit pour seduire une belle Athenienne et pour eloigner d’elle un rival fâcheux. La double posture du heros narrateur confere a la nouvelle de Scorţescu un double profil de genre. D’un cote, il s’agit d’une « etude de mœurs », susceptible d’enseigner aux Grecs les avantages a contempler les choses de chez eux avec les yeux d’autrui, et, en ce sens, qui ressemble, toutes proportions gardees, a une « lettre persane » a la Montesquieu. De l’autre cote, Popi est aussi une histoire « libertine » qui, avec un petit clin d’œil a Diderot, porte sur l’art de faire parler un « bijou » feminin trop discret.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475307","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"L’image du Grec dans l’œuvre de Panaït Istrati et Mateiu Ion Caragiale","authors":"A. Pagliardini","doi":"10.4000/ceb.9719","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/ceb.9719","url":null,"abstract":"Cet article vise a reevaluer l’image du Grec dans la culture roumaine moderne a travers l’œuvre litteraire de Mateiu Ion Caragiale (1885‑1936) et de Panait Istrati (1884‑1935). La profonde relation entre biographie et fiction est chez ces deux auteurs une cle de lecture qui peut nous faire comprendre comment et pourquoi l’image du Grec change dans la periode moderne. Si pendant les xviiie et xixe siecles les Grecs venus du Phanar etaient vus comme des opportunistes corrompus, chez P. Istrati et M. I. Caragiale nous assistons a une recuperation symbolique des influences levantines. La tradition multiculturelle des portes de l’Orient et des ports de l’Orient est devenue dans leurs recits une source d’inspiration litteraire et une partie de l’heritage culturel roumain. Contrairement a la maniere dont les ecrivains romantiques occidentaux ont represente l’Orient, P. Istrati et M. I. Caragiale ont un regard ambivalent, qui voit dans l’Ami levantin, en meme temps, un « exotique » et un « autre soi-meme ».","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475317","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Les relations gréco‑roumaines sous l’impact de « l’invasion turque » à Chypre","authors":"Alkisti Sofou","doi":"10.4000/ceb.9728","DOIUrl":"https://doi.org/10.4000/ceb.9728","url":null,"abstract":"Cet article propose de tracer les grandes lignes de differents aspects des relations de la Grece et du Premier ministre Constantin Caramanlis avec les pays balkaniques apres la chute de la dictature des colonels et le debarquement turc de Chypre en juillet 1974. Nous insisterons a la fois sur les relations greco‑roumaines de cette periode et sur les initiatives prises par la Roumanie au sein des Balkans, aupres de l’ONU et lors de la Conference sur la securite et la cooperation en Europe, tenue a Helsinki en juillet 1975 pour trouver une solution a la crise chypriote.","PeriodicalId":53271,"journal":{"name":"Cahiers Balkaniques","volume":null,"pages":null},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2016-03-08","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"70475380","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}