{"title":"Réhospitalisations non programmées après chirurgie pariétale : mise au point après revue de la littérature","authors":"Benoit Romain , Manon Viennet , Jean-François Gillion , Niki Christou","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.03.005","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.03.005","url":null,"abstract":"<div><div>Une réhospitalisation non programmée (RNP) est définie comme une réadmission non planifiée d’un patient dans les 30<!--> <!-->j suivant sa sortie dans le même établissement pour une raison autre que la santé mentale, la chimiothérapie ou la dialyse. Dans la littérature, le taux de RNP varie de 2,7 % dans les cures de hernie de l’aine, à 5,1 % dans les cures de hernie ventrale primaire par voie ouverte ou laparoscopique, à 12 % dans les cures d’éventrations plus complexes. Cependant, les complications postopératoires sont la cause majeure de RNP quel que soit le type de chirurgie pariétale. Le diabète, le tabagisme, la BPCO, l’obésité, une anticoagulation curative, l’ASA<!--> <!-->≥<!--> <!-->3, une durée longue de l’intervention ou en urgence, un statut socioéconomique défavorisé sont des facteurs de risque de RNP. Une anticipation et une prise en charge de ces facteurs de risque permettent de limiter les RNP.</div></div><div><div>Unplanned readmission (UR) is defined as an unforeseen readmission of a patient within 30 days of discharge to the same facility for a reason other than mental health, chemotherapy or dialysis. In the literature, UR rates after groin hernia repair range from 2.7% to 5.1% after open or laparoscopic primary ventral hernia repair, and 12% after complex incisional hernia repair. Post-operative complications are the major cause of UR, irrespective of the type of parietal surgery. Risk factors for UR include diabetes, smoking, chronic obstructive pulmonary disease, obesity, therapeutic anticoagulation, ASA score<!--> <!-->≥<!--> <!-->3, long duration or emergency surgery, and low socio-economic status. Anticipating and managing these risk factors can help limit UR.</div></div>","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages S12-S17"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144830425","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Réhospitalisation non programmée en chirurgie bariatrique","authors":"Claire Blanchard , Benjamin Menahem","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.03.010","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.03.010","url":null,"abstract":"<div><div>La chirurgie bariatrique est un traitement de référence de l’obésité et d’un certain nombre de ces complications. Même si cette chirurgie se complique peu, un certain nombre de patients sont amenés à reconsulter en urgence ou à distance de la chirurgie. Le but de cette mise au point est d’exposer les principaux motifs de reconsultation aux urgences et de réhospitalisation des patients opérés d’une chirurgie bariatrique à court, moyen et long termes. À court terme, le patient peut présenter des complications non spécifiques (embolie pulmonaire, rhabdomyolyse) et spécifiques (hémorragie, fistule). Leur prise en charge repose sur une stratégie multidisciplinaire médicale, nutritionnelle, interventionnelle avec une place de plus en plus importante de l’endoscopie chirurgicale. À moyen et long termes, les motifs de consultation et de réhospitalisation en urgence sont assez peu spécifiques (douleur abdominale, vomissement, amaigrissement). Dans tous les cas, une évaluation nutritionnelle clinique et biologique complète est indispensable. Certaines complications postopératoires à distance sont peu spécifiques et nécessitent une prise en charge adaptée : survenue de lithiase biliaire, éventration sur orifice de trocart. D’autres complications sont plus spécifiques de chaque chirurgie. Pour l’anneau gastrique, il s’agit principalement de la migration intra-gastrique et de la bascule ; pour la sleeve gastrectomie, il s’agit du reflux sévère, de la sténose et de la fistule tardive ; enfin, pour le bypass, il s’agit des occlusions intestinales notamment sur brèches mésentériques, des sténoses et des ulcères anastomotiques. La prise en charge de ces complications repose sur une stratégie multidisciplinaire là aussi. En conclusion, les réhospitalisations après chirurgie bariatrique sont suffisamment fréquentes et avec des motifs de consultation peu spécifiques. Les bilans clinique, biologique et morphologique adaptés permettent un diagnostic précis pour une prise en charge adaptée.</div></div><div><div>Bariatric surgery is a standard treatment for obesity and a number of its complications. Although surgical complications are relatively rare, some patients must return to the emergency department or to a facility far removed in place and time from the original surgery. The purpose of this update is to outline the main reasons for short-, medium-, and long-term emergency department visits and re-hospitalizations in patients who have undergone bariatric surgery. In the short term, patients may experience non-specific (pulmonary embolism, rhabdomyolysis) and specific (hemorrhage, fistula) complications. Their management is based on a multidisciplinary medical, nutritional, and interventional strategy, with an increasingly important role for surgical endoscopy. In the medium and long term, the reasons for emergency consultation and re-hospitalization are relatively non-specific (abdominal pain, vomiting, excessive or inadequate weight loss). In all cases, ","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages S26-S38"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144831280","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Réhospitalisations non programmées en chirurgie colorectale","authors":"Etienne Buscail , Emilie Duchalais","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.04.006","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.04.006","url":null,"abstract":"<div><div>Les réhospitalisations concernent 7 à 11 % des patients opérés d’une chirurgie colorectale et sont majoritairement justifiées par une complication postopératoire. Les conséquences peuvent être sévères avec un taux de morbi-mortalité élevé en comparaison de l’hospitalisation index. Les réhospitalisations précoces (<<!--> <!-->5<!--> <!-->jours) sont justifiées principalement par les complications septiques et l’iléus, et les réhospitalisations tardives par les complications septiques et la déshydratation sur hyperdébit stomial. La prévention des réhospitalisations fait appel à une association de mesures préventives et de dépistage des complications avant la sortie, un suivi rapproché par consultation voire télémédecine après la sortie et des moyens d’information du patient, de son entourage et de ses soignants sur les signes d’alerte justifiant un avis. L’enjeu de la gestion des réhospitalisations est de ne pas retarder la prise en charge d’une complication sévère dans le centre index, tout en préservant les patients de réhospitalisations évitables s’ils présentent des symptômes postopératoires habituels ou des complications débutantes gérables en externe.</div></div><div><div>From 7 to 11% of patients undergoing colorectal surgery are re-hospitalized and this occurs mostly due to a postoperative complication. The consequences can be severe, with a high morbidity and mortality rate compared to the index hospitalization. Early re-hospitalizations (<<!--> <!-->5<!--> <!-->days) are mainly due to septic complications and ileus, while late re-hospitalizations are mainly related to septic complications and dehydration caused by high stomal output. Prevention of re-hospitalizations requires a combination of preventive measures, screening for complications prior to discharge, close consultative follow-up or even telemedicine follow-up after discharge, and provision of information to the patient, family, and caregivers about warning signs that warrant medical attention. The challenge in managing re-hospitalizations is to avoid treatment delay for a severe complication at the index center, while protecting patients from avoidable re-hospitalizations if patients present with typical postoperative symptoms or emerging complications that are manageable outside the hospital setting.</div></div>","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages S44-S51"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144831282","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Bastien Le Floc’h, Louis Smits, Stylianos Tzedakis
{"title":"Hépatectomie gauche élargie au secteur dorsal, à la veine hépatique moyenne et à la veine cave inférieure par laparoscopie (avec vidéo)","authors":"Bastien Le Floc’h, Louis Smits, Stylianos Tzedakis","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.03.004","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.03.004","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages 342-345"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144829684","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Charles Sabbagh , Quentin Denost , Denis Blazquez , Constantin Zaranis , Muriel Mathonnet , Claude Rambaud , Chloé Carrière , Alain Deleuze , Jean-Michel Fabre , Fédération de Chirurgie Viscérale et Digestive (FCVD)
{"title":"La décision médicale partagée : mise au point","authors":"Charles Sabbagh , Quentin Denost , Denis Blazquez , Constantin Zaranis , Muriel Mathonnet , Claude Rambaud , Chloé Carrière , Alain Deleuze , Jean-Michel Fabre , Fédération de Chirurgie Viscérale et Digestive (FCVD)","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.01.008","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.01.008","url":null,"abstract":"<div><div>L’association d’un patient à la décision médicale est appelée décision médicale partagée (DMP). Si le concept de DMP est ancien, son implémentation dans la pratique clinique courante peine à se développer bien que l’on note un intérêt grandissant sur ce thème dans la littérature scientifique. La DMP n’est envisageable qu’en plein accord avec le patient qui devient acteur de sa prise en charge avec parfois des buts différents de ceux du médecin. Dans une revue systématique, il était rapporté que 75 % des chirurgiens étaient favorables à la DMP alors que seuls 54 % des patients y étaient favorables Les supports utilisés pour la DMP peuvent être extrêmement variables et ne sont pas simplement un document d’information mais doivent être un guide aidant le patient à clarifier ses choix. Ils doivent permettre avoir un temps d’échange de qualité alors même que le temps à consacrer à la DMP est perçu comme un frein à son développement. Les objectifs de ce travail sont de préciser les étapes essentielles à la mise en place d’une DMP, les outils d’évaluation et les applications de la DMP en chirurgie digestive.</div></div><div><div>Involving the patient in medical decision-making is called shared medical decision-making (SMD). While the concept of SMD is nothing new, implementation has been slow to develop within current clinical practice, although there is growing interest in this topic in the scientific literature. SMD requires full agreement with the patient, who becomes an actor in their own care, and whose goals sometimes differ from those of the doctor. In a systematic review, it was reported that 75% of surgeons were in favor of SMD, while only 54% of patients favored it. The tools that support SMD can be extremely variable; they are not merely a document of information but must offer guidance to help the patients clarify their choices. They must allow for quality time for discussion, even though the time spent on SMD is perceived as a hindrance to its widespread adoption. The objectives of this work are to specify the essential steps in setting up SMD, and the assessment tools and applications for SMD in digestive surgery.</div></div>","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages 294-303"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144829678","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"La mobilisation de l’angle splénique en chirurgie colorectale laparoscopique : pourquoi et comment ?","authors":"Zaki Boudiaf , Kamel Bentabak","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.02.008","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.02.008","url":null,"abstract":"<div><div>Mobiliser l’angle colique gauche systématiquement ou de façon sélective lors de la chirurgie colorectale laparoscopique reste une question débattue. Son intérêt dans la diminution du taux de fistule anastomotique n’est pas démontré. De plus, sa difficulté de réalisation en laparoscopie et l’augmentation de la durée opératoire sont ses principaux inconvénients. L’angle colique gauche est une zone charnière dont l’anatomie est complexe avec de nombreuses variations, notamment vasculaires. L’approche laparoscopique lors de la mobilisation de l’angle colique gauche doit prendre en compte les plans embryologiques tout en respectant la vascularisation. Sur le plan technique, cette mobilisation peut se faire soit de « dehors en dedans » par une voie latérale ou antérieure, ou bien de « dedans en dehors » par une voie médiane qui fait suite à l’abord vasculaire. Elle permet un gain de longueur du côlon libéré d’en moyenne 28<!--> <!-->cm (extrêmes 10–65) sur des dissections cadavériques, permettant une anastomose sans tension dans tous les cas. Les résultats de la mobilisation de l’angle colique gauche sur le taux de fistule anastomotique sont discordants : les méta-analyses basées sur des études rétrospectives n’ont pas démontré d’effets bénéfiques de la mobilisation, mais le seul essai randomisé disponible a objectivé une baisse significative du taux de fistule en faveur de la mobilisation (9,6 % versus 17,9 %, <em>p</em> <!-->=<!--> <!-->0,04). La durée opératoire est prolongée d’au moins 30<!--> <!-->mn et de façon significative dans la plupart des études sans pour autant impacter le taux de conversion, ou les taux de morbidité globale ou de mortalité. L’imagerie préopératoire permet au chirurgien de mieux planifier son intervention tout en prédisant les difficultés opératoires. Dans l’avenir, la chirurgie robotique devrait permettre une mobilisation de l’angle splénique en toute sécurité grâce à une meilleure vision et une exposition plus stable.</div></div><div><div>Whether or not to mobilize the splenic flexure during laparoscopic colorectal surgery remains a subject of debate. Its usefulness in decreasing the rate of anastomotic leak has not been demonstrated. The difficulty of performing splenic flexure mobilization via laparoscopy and the increase in operative duration are its principal drawbacks.</div><div>The splenic flexure is an anatomic threshhold zone with complex anatomy, particularly with numerous vascular variations. The laparoscopic approach to splenic flexure mobilization must take into account the embryologic planes while respecting its vascular supply. From the technical standpoint, laparoscopic splenic flexure mobilization can proceed from outside-in by a lateral or anterior approach or from inside-out by a medial approach immediately following the vascular transection. Splenic flexure mobilization can result in an average gain in length of 28<!--> <!-->cm (extremes: 10–65<!--> <!-->cm) as demonstrated by cadaver dissect","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages 304-317"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144829679","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Cartographie lymphatique par injection de bleu patenté pour cancer du côlon","authors":"Marc Pocard , Jean-Jacques Tuech","doi":"10.1016/j.jchirv.2024.12.010","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2024.12.010","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages 318-325"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144829680","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Antoine Poirier, Laurent Brunaud, Claire Nominé Criqui
{"title":"Invagination grêlo-grêlique après court-circuit gastrique en Y chez la femme enceinte","authors":"Antoine Poirier, Laurent Brunaud, Claire Nominé Criqui","doi":"10.1016/j.jchirv.2025.04.002","DOIUrl":"10.1016/j.jchirv.2025.04.002","url":null,"abstract":"<div><div>L’invagination intestinale aiguë après un court-circuit gastrique en Y chez la femme enceinte est une complication rare. Une prise en charge chirurgicale multidisciplinaire, en étroite collaboration avec les obstétriciens, est essentielle pour éviter une résection digestive et/ou une complication fœtale.</div></div><div><div>Acute intestinal intussusception after Roux-en-Y gastric bypass is a rare complication during pregnancy. An early surgical procedure, in close collaboration with obstetricians, is an essential means of avoiding small bowel resection and/or fetal complication.</div></div>","PeriodicalId":73567,"journal":{"name":"Journal de chirurgie viscerale","volume":"162 4","pages":"Pages 336-338"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2025-08-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"144829682","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}