R. Okoue Ondo , G. Edjo Nkilly , A. Matsanga , P. Nze Obiang , V. Sagbo Ada , W. Mouiri Bivigou , S. Oliveira , U. Mayegue , J.M. Mandji Lawson , R. Tchoua
{"title":"Facteurs de risques de séjour prolongé à l’Unité d’hospitalisation de courte durée (UHCD) du SAU de l’hôpital d’instruction des armées Omar Bongo Ondimba","authors":"R. Okoue Ondo , G. Edjo Nkilly , A. Matsanga , P. Nze Obiang , V. Sagbo Ada , W. Mouiri Bivigou , S. Oliveira , U. Mayegue , J.M. Mandji Lawson , R. Tchoua","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.10.001","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.10.001","url":null,"abstract":"<div><h3>Introduction</h3><p>L’Unité d’hospitalisation de courte durée (UHCD) est une unité d’hospitalisation, non conventionnelle et de surveillance. Les UHCD sont définies administrativement en France comme faisant partie intégrante des services d’urgence. Elles ont pour but d’assurer les soins, d’affiner le diagnostic dans l’objectif d’orienter les patients vers les services adaptés à leur état clinique.</p></div><div><h3>Matériels et méthodes</h3><p>Nous avons mené une étude d’observation descriptive prospective, portant sur tous les patients ayant séjourné plus de 48<!--> <!-->heures aux urgences sur une période de six mois, de janvier 2021 à juin 2021. Notre étude avait pour but de déterminer la durée moyenne de séjour au SAU, de préciser les principaux facteurs de prolongation de séjour des patients l’UHCD de HIAOBO et de les comparer à ceux observés dans la littérature.</p></div><div><h3>Résultats</h3><p>Dans notre série, pendant la période d’étude, le SAU a reçu 2713 patients en consultations, parmi lesquels 795 ont été hospitalisés, soit un taux admission de 29,30 %. Sur les 795 patients hospitalisés, 109 patients ont séjourné plus de 48<!--> <!-->heures soit une proportion de 13,71 %. Les motifs de consultations médicaux ont représenté 93,58 % contre 6,42 % des motifs chirurgicaux. Les fièvres ont été les 1<sup>ers</sup> motifs d’admissions (17,47 %) suivies de l’altération de l’état général (11,93 %) et l’hémiplégie (11,00 %). Les accidents vasculaires cérébraux ont été le diagnostic retenu le plus fréquent (19,27 %) suivis du paludisme grave (12,84 %) et de la drépanocytose (7, 34 %). La durée moyenne de séjour globale était de 110<!--> <!-->heures (4<!--> <!-->jours) avec une durée maximale à 408<!--> <!-->heures (17<!--> <!-->jours). La durée moyenne de séjour en spécialités médicales était de 111<!--> <!-->heures, et 102<!--> <!-->heures en spécialités chirurgicales. Le retour à domicile était le mode de sortie le plus fréquent (47,71 %) suivi des transferts en périphérie (39,45 %), des décès (11,93 %) et des évacuations à l’extérieur du pays. Le service de médecine polyvalente était la structure en aval la plus sollicitée pour les transferts dans 45,94 % des cas, suivi du service de cardiologie (27,03 %) et en 3<sup>e</sup> position le service de réanimation (10,81 %). Le manque de place dans le service en aval était le principal facteur de prolongation du séjour des patients au l’UHCD (71,56 % des cas). Les autres causes évoquées étaient les problèmes de coordinations entre les services (14,68 %) et l’absence de service d’hospitalisation adéquat (11,93 %). Le souci financier et les problèmes de matériels étaient les moins évoqués.</p></div><div><h3>Conclusion</h3><p>Nos résultats montrent une prolongation de la durée de séjour moyenne à UHCD de HIA-OBO à 4<!--> <!-->jours et le manque de place d’hospitalisation en aval comme le principal facteur de prolongation de séjours.</p></div><div><h3>Introduction</h3><p>Short-term hospita","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 3","pages":"Pages 119-128"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-11-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"54515360","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Arrêt cardio respiratoire de l’adulte. « Scoop and run » ou « stay and treat ». Un débat plus que jamais d’actualité !","authors":"P. Carli, A. Hutin, l. Lamhaut","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.10.003","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.10.003","url":null,"abstract":"<div><p>Le débat qui oppose la stratégie du « scoop and run » et de « stay and treat » est bien connu en traumatologie même s’il est peu conclusif. Il prend un relief particulier dans le domaine de l’arrêt cardiorespiratoire (ACR) préhospitalier ou des données récentes suggèrent un avantage conséquent pour la réalisation d’une réanimation cardiopulmonaire spécialisée (RCPS) sur place. Cependant ce résultat est tributaire de la performance globale du système d’urgence qui prend en charge le patient. L’introduction dans la RCPS de l’ECMO comme traitement de deuxième ligne relance ce débat. En effet pour améliorer la survie, l’ECMO doit être mise en place dans l’heure, soit par une équipe préhospitalière soit à la suite d’un transport rapide dans un hôpital en disposant.</p></div><div><p>The debate between the strategy of “scoop and run” and “stay and treat” is well-known in traumatology even if it is inconclusive. It takes on particular importance in the field of out of hospital cardiorespiratory arrest (OHCA) where recent data suggest a significant advantage for performing advanced cardiac life support (ACLS) on scene. However, this result is dependent on the overall performance of the emergency system that supports the patient. The introduction into RCPS of ECMO as a second-line treatment revives this debate. In fact, to improve survival, ECMO must be implemented within the hour, either by a pre-hospital team or following rapid transport to a reference hospital.</p></div>","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 3","pages":"Pages 113-118"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-11-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"47801335","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"La régulation médicale du SAMU de Paris d’hier et d’aujourd’hui","authors":"Jean-Sébastien Marx","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.10.005","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.10.005","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 3","pages":"Pages 135-137"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-11-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"45084691","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Un été très chaud","authors":"P. Carli","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.08.001","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.08.001","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Pages 51-53"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"41961481","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
P. Carli , L. Lamhaut , C. Télion , J.-S. Marx , F. Braun
{"title":"Centre médical de transit et d’évacuation (CMTE) pour les patients COVID graves","authors":"P. Carli , L. Lamhaut , C. Télion , J.-S. Marx , F. Braun","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.06.002","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.06.002","url":null,"abstract":"<div><p>Au cours de la troisième vague de la crise COVID-19 en région Île-de-France, la tension prolongée, sur les lits de soins critiques, a conduit à développer le concept d’un CMTE (Centre medical de transit et d’évacuation). Cette unité, basée dans un hôpital, à proximité du plateau technique de réanimation, a pour objectif d’accueillir, pendant quelques heures, de trier, de mettre en condition puis de transférer les patients COVID-19 graves pour lesquels la régulation médicale du SAMU départemental n’a pas réussi initialement à trouver une place en soins critiques. Elle permet donc de sécuriser la prise en charge pré-hospitalière et d’optimiser la gestion d’un flux de patients graves lié à la pandémie. Cet article décrit cette structure, ses composantes, son fonctionnement et ses relations avec le SAMU. Elle envisage son application à d’autres contextes que la pandémie.</p></div><div><p>During the third wave of the COVID-19 crisis in the Île-de-France region, the prolonged tension on critical care beds led to the development of the concept of a CMTE (Medical Center for Transit and Evacuation). This unit based in a hospital, near the technical resuscitation platform, aims to accommodate for a few hours, sort, condition and then transfer serious COVID-19 patients for whom the medical regulation of the departmental SAMU initially failed to find a place in critical care. It therefore makes it possible to secure pre-hospital care and optimize the management of a flow of serious patients linked to the pandemic. This article describes this structure, its components, its operation and its relationship with the SAMU. It is considering its application to contexts other than the pandemic.</p></div>","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Pages 92-98"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211423822000372/pdfft?md5=3cc38ed17b790ea9648eefc0361fa030&pid=1-s2.0-S2211423822000372-main.pdf","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"44349399","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"OA","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Quelle plateforme pour quelles urgences ?","authors":"Pierre Valette","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.06.001","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.06.001","url":null,"abstract":"<div><p>Derrière l’idée politique de simplification des numéros d’urgence, s’avance celle corporatiste d’une dichotomie entre la réponse à l’urgence vitale et celle à une demande de soins non urgents. Ce qui a échappé aux zélateurs du numéro unique d’appel des urgences vitales, c’est la définition même de l’urgence en médecine. S’il est facile de faire la différence, par exemple, entre un braquage et un incendie dès l’appel, comment, pour un opérateur étranger au monde de la santé, qualifier d’urgent ou de non urgent un mal de tête, un mal de ventre… pour se limiter aux exemples les plus triviaux mais les plus courants et piégeants de la régulation médicale ? Est-ce une urgence vitale ou une demande de soins pouvant être traitée sans urgence ? Il est crucial de se saisir à nouveau de la réflexion, jamais définitive, sur la distinction entre « urgences vraies » et « urgences ressenties ». Nous tenterons de démontrer que la construction d’un système « plus simple », matérialisé dans une « plateforme commune » efface toute la complexité de la régulation médicale derrière l’idée d’un numéro unique 112 veillé par le ministère de l’Intérieur.</p></div><div><p>Behind the political idea of simplifying emergency numbers, comes the corporatist idea of a dichotomy between the response to vital emergency and that of a request for non-emergency care. What escaped the zealots of the single vital care call number is the very definition of medical emergency. If it is easy to tell the difference, for example, between a robbery and a fire on call, how can an operator–foreign to the world of health–qualify as urgent or not urgent a headache, a stomach ache to limit ourselves to the most trivial but the most common and trapping examples of medical regulation? Is it a life emergency or a request for care that can be treated without an emergency? It is crucial to revisit the never definitive reflection on the distinction between “real emergencies” and “perceived emergencies”. We will try to demonstrate that the construction of a «simpler» system, materialized in a «common platform» erases all the complexity of medical regulation behind the idea of a single number 112 overseen by the Ministry of the Interior.</p></div>","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Pages 64-69"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"44847145","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
F.-H. Minka , S.-O. Minka , E. Revue , A. Chauvin , E. Casalino , P. Plaisance , C. Choquet
{"title":"Managing two waves of the COVID-19 pandemic in northern emergency departments in Paris: COVIDORG II","authors":"F.-H. Minka , S.-O. Minka , E. Revue , A. Chauvin , E. Casalino , P. Plaisance , C. Choquet","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.08.004","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.08.004","url":null,"abstract":"<div><h3>Context</h3><p>At the end of the 1st lockdown, we thought the COVID-19 pandemic was over. Yet, we had to deal with other successive waves.</p></div><div><h3>Objective</h3><p>To analyze our strategies for managing the 2nd and 3rd waves of the COVID-19 pandemic.</p></div><div><h3>Methods</h3><p>Descriptive and observational study in two emergency departments in the North of Paris (Bichat and Lariboisière hospitals) over the period from May 01, 2020, to May 31, 2021.</p></div><div><h3>Results</h3><p>Analysis of our activity during the study period revealed that less than 5% of patients treated for COVID-19 pneumonia in our 2 hospitals had died. Two explanations for this observation: on the one hand, a better knowledge of the physiological mechanisms of the disease; And on the other hand, a weapon to effectively prevent severe forms, hospitalizations, and deaths: the vaccine. Yet, 1 year after the pandemic, we continued to see sustained activity partly related to COVID-19, but also for other consultation reasons. And unlike the first wave, the number of caregivers has been significantly reduced due to exhaustion. It is also important to highlight the psychological impact of COVID-19 with a number of suicide attempts doubling during our study period.</p></div><div><h3>Conclusion</h3><p>The COVID-19 pandemic has weakened the buildings of our health care system. Today, the burden of emergency care rests on a limited number of professionals.</p></div><div><h3>Contexte</h3><p>À la fin du 1<sup>er</sup> confinement, nous pensions que la pandémie de COVID-19 était terminée. Pourtant, nous avons dû faire face à d’autres vagues successives.</p></div><div><h3>Objectif</h3><p>Analyser nos stratégies de gestion des 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> vagues de la pandémie de COVID-19.</p></div><div><h3>Méthodes</h3><p>Étude descriptive et observationnelle dans deux services d’urgence du Nord de Paris (hôpitaux de Bichat et de Lariboisière) sur la période du 1<sup>er</sup> mai 2020 au 31 mai 2021.</p></div><div><h3>Résultats</h3><p>L’analyse de notre activité au cours de la période d’étude a révélé que moins de 5 % des patients traités pour une pneumonie à COVID-19 dans nos 2 hôpitaux étaient décédés. Deux explications à ce constat : d’une part, une meilleure connaissance des mécanismes physiologiques de la maladie ; et d’autre part, une arme pour prévenir efficacement les formes graves, les hospitalisations, et les décès : le vaccin. Pourtant, 1 an après la pandémie, nous avons continué d’observer une activité soutenue en partie liée à la COVID-19, mais aussi pour d’autres motifs de consultation. Et contrairement à la première vague, le nombre de soignants a été considérablement réduit en raison de l’épuisement. Il est également important de souligner l’impact psychologique de la COVID-19 avec un nombre de tentatives de suicide qui a doublé au cours de notre période d’étude.</p></div><div><h3>Conclusion</h3><p>La pandémie de COVID-19 a affaibli les édifices ","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Pages 70-81"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211423822000414/pdfft?md5=bbf186cbbba65eff3518f785d469fa64&pid=1-s2.0-S2211423822000414-main.pdf","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"54515235","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"OA","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Sommaire","authors":"","doi":"10.1016/S2211-4238(22)00047-5","DOIUrl":"https://doi.org/10.1016/S2211-4238(22)00047-5","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Page v"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211423822000475/pdfft?md5=7f2c68b73444187f19276d5d8f5cee7c&pid=1-s2.0-S2211423822000475-main.pdf","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"136526549","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"OA","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
N. Chouaib, T. Nebhani, S. Jidane, A. Belkouch, S. Zidouh, L. Belyamani
{"title":"Hypokalemia mimicking paraplegia: A case report","authors":"N. Chouaib, T. Nebhani, S. Jidane, A. Belkouch, S. Zidouh, L. Belyamani","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.03.007","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.03.007","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Page 99"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"41619863","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
R. Okoue Ondo , G. Edjo Nkilly , P. Nze Obiang , A. Matsanga , S. Oliveira , M. Cisse , U. Mayegue Anani , J.M. Mandji Lawson , R. Tchoua
{"title":"Complications aiguës des syndromes drépanocytaires majeurs : expérience de l’Hôpital d’instruction des armées Omar Bongo Ondimba","authors":"R. Okoue Ondo , G. Edjo Nkilly , P. Nze Obiang , A. Matsanga , S. Oliveira , M. Cisse , U. Mayegue Anani , J.M. Mandji Lawson , R. Tchoua","doi":"10.1016/j.jeurea.2022.08.003","DOIUrl":"10.1016/j.jeurea.2022.08.003","url":null,"abstract":"<div><h3>Objectif</h3><p>Décrire les aspects cliniques et paracliniques ainsi que l’évolution des syndromes drépanocytaires majeurs en situations aiguës.</p></div><div><h3>Patients et méthodes</h3><p>Étude prospective, allant du 1<sup>er</sup> décembre 2020 au 1<sup>er</sup> avril 2021. Étaient concernés les patients drépanocytaires ≥ 3 ans admis dans un tableau de complications aiguës à l’HIA OBO.</p></div><div><h3>Résultats</h3><p>Nous avons enregistré 22 patients. L’âge moyen des patients est de 24 ans avec des extrêmes de 9 et 43 ans. On note une prédominance masculine avec un sexe-ratio de 1,2. Tous nos patients sont des drépanocytaires SS. Les CVO et l’ictère sont les antécédents les plus retrouvés et 73 % des patients ont présenté entre 1–3 CVO dans l’année. Le paludisme est l’antécédent infectieux le plus retrouvé suivi de l’infection urinaire. Le taux moyen d’hémoglobine de base est de 7,35<!--> <!-->g/dL. L’association AINS<!--> <!-->+<!--> <!-->Palier I est le traitement antalgique le plus utilisé. Environ 32 % de nos patients ont reçu les vaccins contre le pneumocoque et le méningocoque. Seuls 4 patients ont reçu un traitement par hydroxyurée. Aucun facteur favorisant n’a été clairement identifié. L’infection (82 %) domine les complications aiguës retrouvées avec le paludisme en chef de file (72 %), suivi des pneumopathies (22 %). Les CVO viennent en deuxième position (77 %), suivies des complications hématologiques. Sur le plan thérapeutique, la transfusion a été utilisée dans 41 % des cas. La durée moyenne du séjour hospitalier est de 3,22<!--> <!-->jours. L’évolution est favorable dans 95 % des cas avec un taux de mortalité de 4,5 %.</p></div><div><h3>Conclusion</h3><p>Les urgences drépanocytaires demeurent fréquentes. Les mesures de prévention restent importantes pour réduire leurs fréquences. L’amélioration de cette situation passe par l’éducation des patients et de leurs familles ainsi que du personnel soignant.</p></div><div><h3>Purpose</h3><p>Describe the clinical and paraclinical aspects as well as the evolution of major sickle cell syndromes in acute situations.</p></div><div><h3>Patients and methods</h3><p>Prospective study, running from December 1st, 2020 to April 1st, 2021. Sickle cell patients ≥ 3-year-old, admitted with an acute complication to HIA OBO were concerned.</p></div><div><h3>Results</h3><p>We registered 22 patients. The average age of the patients is 24 years with extremes of 9 and 43 years. Male predominance is recorded with a sex ratio of 1.2. All of our patients have SS genotype. VOC and jaundice are the most recovered medical history and 73% of patients had had between 1–3 events in the year before. Malaria is the most found infectious history followed by urinary tract infection. The average baseline haemoglobin level is 7.35<!--> <!-->g/dL. NSAID<!--> <!-->+<!--> <!-->Level I analgesic association is the most used analgesic. Approximately 32% of our patients have received pneumococcal and meningococcal v","PeriodicalId":38439,"journal":{"name":"Journal Europeen des Urgences et de Reanimation","volume":"34 2","pages":"Pages 82-91"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2022-09-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"41783371","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}