{"title":"Flaubert, Baudelaire ou l'art de s'adresser aux femmes","authors":"Loïc Windels (Paris 8)","doi":"10.58282/colloques.1075","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1075","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"165 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2009-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"115488891","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Poétique du passage : Henri Michaux et la musique","authors":"Haydée Charbagi (Paris 3 Sorbonne Nouvelle)","doi":"10.58282/colloques.1083","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1083","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"87 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-11-18","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"125004779","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Présentation et ouverture de la journée « Arts poétiques et arts d’aimer »","authors":"Margot Demarbaix (Paris 8)","doi":"10.58282/colloques.1061","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1061","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"46 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-11-16","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"121055576","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"L’art poétique de Robert Desnos : figures érotiques, figures poétiques","authors":"Margot Demarbaix (Paris 8)","doi":"10.58282/colloques.1063","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1063","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"24 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-11-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"117353099","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"L'Art d'aimer d'Ovide: des effets inattendus, mais cosmogoniques, du discours prescriptif","authors":"Claire Paulian (Paris 8)","doi":"10.58282/colloques.1064","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1064","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"43 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-11-13","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"114711473","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"Paul Valéry : autour de la figure de Narcisse","authors":"P. Galli","doi":"10.58282/colloques.1073","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1073","url":null,"abstract":"Pour aborder la question d’un eventuel rapport entre art poetique et art d’aimer chez Valery, j’ai choisi de concentrer mon attention sur une figure particuliere, celle de Narcisse, en cherchant a etudier comment ce personnage, qui parcourt l’œuvre de Valery, etablit un lien inedit entre l’art poetique valeryen et une forme singuliere d’erotisme. L’œuvre de Paul Valery se caracterise en effet par l’importance quantitative des textes theoriques, des Cahiers aux essais plus connus (Tel Quel, Variete). Valery est d’ailleurs (quantitativement) davantage un critique, un theoricien de la poesie, qu’un poete. Il est egalement considere comme l’inventeur de la poetique moderne, puisque le cours de Poetique du College de France a ete cree a son intention. La theorie poetique de Valery offre un premier point commun flagrant avec le principe meme d’ « art poetique », puisque Valery insiste, dans tous ses textes theoriques, sur le travail du poete, s’inscrivant systematiquement en faux contre l’idee d’inspiration poetique : L’exercice de la poesie laborieuses m’a accoutume a considerer tous discours et toute ecriture, comme un etat d’un travail […] ; et ce travail meme comme ayant une valeur propre1. On rejoint donc ici la definition stricte de l’art poetique comme savoir-faire, comme technique. On touche egalement a une question presente dans l’Ars Amatoria d’Ovide : celle de la tension entre ars et ingenium, artisanat et inspiration. Mais cette conception de la poesie comme technique,","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"14 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-09-03","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"123144046","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"De la grammaire des plaisirs à la rhétorique des corps : métamorphoses licencieuses de l’art d’aimer et de l’art poétique","authors":"Stéphanie Loubère (Paris 4 Sorbonne)","doi":"10.58282/colloques.1068","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1068","url":null,"abstract":"","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-09-03","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"128999880","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
{"title":"« Les mots il suffit qu’on les aime » : les arts poétiques à l’Oulipo","authors":"Camille Bloomfield","doi":"10.58282/colloques.1085","DOIUrl":"https://doi.org/10.58282/colloques.1085","url":null,"abstract":"Ars poetica et ars oulipiana Lorsqu’on remonte aux origines de l’expression « art poetique », on se souvient qu’en latin, « ars » avait notamment les sens d’« habilete acquise par l’etude ou par la pratique » et de « talent », s’opposant a la fois aux idees de natura, d’ingenium et de scientia. C’est de ce sens-la qu’est issu celui de « metier, profession », engendrant par la suite artifex. Le mot a ensuite servi a traduire le concept grec de tekhne, d’ou sa valeur de « traite », et c’est au terme de ce long processus qu’est nee la locution francaise « art poetique »1. Force est de le constater, ces semes de l’« habilete » et de la « technique » ont perdu de l’importance avec le temps. On les retrouve neanmoins, soit au sein de locutions figees comme « arts et metiers », soit sous la forme d’un debat esthetique qui, depuis l’Antiquite jusqu’au surrealisme, en passant par la querelle des Anciens et des Modernes, poserait la question ainsi : existe-t-il un « genie de l’artiste » ? Autrement dit, quelle part d’inspiration viendrait s’ajouter, chez un artiste, a cette faculte que l’on appelle parfois le talent, parfois l’habilete ? Dans ce debat, l’Oulipo a toujours pris tres clairement parti contre la toute-puissance de l’inspiration et pour le « travail », la « facture » de l’œuvre. L’artiste est percu par eux comme un artisan (des mots, des images), un homo faber. En effet, avant meme la creation du groupe, Raymond Queneau ecrivait deja dans Odile : « Le veritable inspire n'es","PeriodicalId":157501,"journal":{"name":"Arts poétiques et arts d’aimer","volume":"137 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2008-05-06","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"131483109","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}