Karima Bouchemal, Ryma Bouldjadj, M. Belbekri, Nadia Ykhlef, A. Djekoun
{"title":"Pigments photosynthétiques, enzymes antioxydantes et potentiel osmotique foliaire de dix génotypes de blé dur (Triticum durum) : effet du stress hydrique","authors":"Karima Bouchemal, Ryma Bouldjadj, M. Belbekri, Nadia Ykhlef, A. Djekoun","doi":"10.7202/1055352AR","DOIUrl":"https://doi.org/10.7202/1055352AR","url":null,"abstract":"L’ajustement osmotique, les pigments photosynthétiques et les changements d’activités des antioxydants enzymatiques ont été évalués chez dix génotypes de blé dur (Triticum durum) soumis à des conditions de stress hydrique. Les plantules de blé ont germé en hydroponie, en chambre de culture. Le stress hydrique a été appliqué aux quatrième et cinquième stades de la feuille par l’ajout d’une solution de polyéthylène glycol (PEG 6000) (-0,49 MPa). Le potentiel osmotique ainsi que la teneur en chlorophylle totale (Chl a+b) et en caroténoïdes (Car) ont été déterminés. Des analyses électrophorétiques ont été effectuées pour trois enzymes antioxydantes, soit la superoxyde dismutase (SOD), la guaïacol peroxydase (GPOX) et la catalase (CAT), en utilisant l’électrophorèse sur gel de polyacrylamide (PAGE) en conditions natives. Les résultats obtenus montrent une réduction du potentiel osmotique foliaire et une diminution de Chl a+b et Car sous l’effet du stress hydrique. Toutefois, il existe des différences significatives entre les génotypes étudiés en réponse au traitement imposé. PAGE a permis de montrer une augmentation dans l’intensité des enzymes étudiées et une apparition d’isoformes supplémentaires, dont une de CAT et trois de SOD, en conditions de stress. Ces différences dans les réponses au stress hydrique pourraient être des indices utiles et fiables pour la sélection de génotypes tolérants de blé dur.","PeriodicalId":188838,"journal":{"name":"Articles scientifiques","volume":"8 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2018-05-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"116865422","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
J. Tremblay, P. Cabrera, D. Cormier, J. Brodeur, E. Lucas
{"title":"Parasitoid guild and parasitism rate of the obliquebanded leafroller in IPM orchards and adjacent woodlands","authors":"J. Tremblay, P. Cabrera, D. Cormier, J. Brodeur, E. Lucas","doi":"10.7202/1055354AR","DOIUrl":"https://doi.org/10.7202/1055354AR","url":null,"abstract":"The obliquebanded leafroller (OBLR), Choristoneura rosaceana (Harris) [Lepidoptera: Tortricidae], a primary pest in Quebec apple orchards, can be naturally parasitized. Knowing that habitats around crop’s peripheries are reservoirs for natural enemies of pests, the objective of the present investigation was to assess parasitism and parasitoid guild composition associated with the OBLR. The two-year study included orchards under integrated pest management, their edges, and adjacent woodlands. Parasitism was assessed using sentinel OBLR larvae and considered spring, early summer and late summer. Parasitism rates between regions with different vegetation composition were not significantly different. The first year, late summer larvae showed higher parasitism in orchards (27%), compared to edges (7%) and woodlands (11%). The following year, larvae exposed in early summer had higher parasitism rate in edges (28%) compared to orchards and woodlands (17% in both zones). Nineteen parasitoid species parasitized sentinel larvae. The tachinid Actia interrupta (Curran), the most abundant species, represented 28 and 62% of species the first and the second year respectively. Our research demonstrates that natural biological regulation of the OBLR is the result of a highly diversified parasitoid guild and this should be taken into account in any Integrated Pest Management program.","PeriodicalId":188838,"journal":{"name":"Articles scientifiques","volume":"32 2 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2018-05-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"114220646","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}
Yvan Faucher, Sylvie Rioux, Nicole Bourget, Sylvie Thibaudeau, B. Duval, S. Mathieu, A. Breton, L. O'donoughue
{"title":"Évaluation de maladies racinaires du soya dans des champs de la Montérégie en 2014 et 2015","authors":"Yvan Faucher, Sylvie Rioux, Nicole Bourget, Sylvie Thibaudeau, B. Duval, S. Mathieu, A. Breton, L. O'donoughue","doi":"10.7202/1055353AR","DOIUrl":"https://doi.org/10.7202/1055353AR","url":null,"abstract":"Un inventaire des maladies racinaires du soya causées par des champignons et des oomycètes a été réalisé en 2014 et 2015 dans 80 champs situés en Montérégie et 4 au Centre-du-Québec. Douze plantules au stade de deux feuilles trifoliées ont été prélevées par champ pour évaluer l’état sanitaire de leurs racines (indice racinaire) selon une échelle de 1 à 5 (1 = belles racines abondantes ; 5 = nécroses et peu de racines), et pour révéler dans ces racines, à l’aide de techniques de mise en culture, la présence de champignons et d’oomycètes pathogènes. L’indice racinaire moyen pour l’ensemble des champs était de 2,6 en 2014 et 3,2 en 2015. Des espèces de Pythium et de Fusarium étaient présentes dans presque 100 % des champs chaque année, alors que Rhizoctonia solani et Thielaviopsis basicola ont été plus abondants en 2015 (88 % des champs) qu’en 2014 (52 %). Phytophthora sojae n’a été isolé d’aucune racine, mais l’a été à partir des sols de 37 % des champs. Les espèces de Fusarium les plus fréquentes étaient F. solani, F. oxysporum et F. equiseti, présentes dans au moins 60 % des champs. La méthode d’analyse « stepwise » a sélectionné trois facteurs pour expliquer la variation de l’indice racinaire, dont deux ont montré des différences significatives entre leurs niveaux, soit le type de semence (indice plus élevé pour non-OGM que pour OGM) et le nombre d’années en culture de soya au cours des quatre dernières années (indice augmentant avec le nombre d’années). Le travail du sol a été le seul facteur sélectionné pour expliquer la variation des Fusarium totaux (somme diminuant avec l’intensité du travail de sol).","PeriodicalId":188838,"journal":{"name":"Articles scientifiques","volume":"2 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0,"publicationDate":"2018-05-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":null,"resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":"115474952","PeriodicalName":null,"FirstCategoryId":null,"ListUrlMain":null,"RegionNum":0,"RegionCategory":"","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":"","EPubDate":null,"PubModel":null,"JCR":null,"JCRName":null,"Score":null,"Total":0}