Canada and African Refugees: It Is Complicated, but Opportunities Exist for a Partnership

Abstract:Canada is a global leader in addressing refugee issues, particularly in the area of resettlement, but has a complicated relationship with African refugees. The complication is most profound in the case of those living in refugee camps in Africa. In addition, Canada's commitment toward peacekeeping—which it deems a solution for conflicts that are the leading cause of population displacement in the context of Africa—is fraught with complexities. This article reviews the complications underlying Ottawa's response to refugee issues from Africa, arguing that in the next 25 years, Ottawa can change its complicated relationship with Africa into a partnership aimed at providing a solution to the myriad refugee crises. Such a partnership will necessarily include contributing financial and technical support to refugee-hosting countries in Africa and returning to active participation in peacekeeping in Africa.Résumé:L'auteur tente de définir, à travers le prisme de la multipolaritéde l'économie politique mondiale (ÉPM), certaines des possibilités qui s'offriront au Canada dans 25 ans en ce qui a trait à ses engagements avec la Russie. Il opte pour la forme plurielle du terme « engagements » afin de multiplier les possibilités envisagées au-delà des tensions géopolitiques actuelles en apparence insurmontables. L'auteur affirme que nous nous trouvons au coeur d'une restructuration complexe de l'ÉPM dont les répercussions se feront sentir loin dans l'avenir et qui créera un environnement exigeant pour les Canadiens qui chercheront à articuler et concrétiser leurs idées et à poursuivre leurs intérêts collectifs. Un élément de ce tableau est la volonté de la Russie de remettre en question l'internationalisme libéral occidental dans le contexte de la multipolaritsé. Quoi qu'il en soit, l'auteur suggère que nous « décentrions » la notion que nous avons de la civilisation et des différences entre civilisations pour pouvoir imaginer le profil que pourraient emprunter les engagements canadiens avec la Russie dans 25 ans.