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Le verbe français tenir et le verbe allemand halten présentent des affinités syntacticosémantiques remarquables qui conduisent à s’interroger sur le degré de recouvrement de leur noyau sémantique : ont-ils grossièrement un noyau identique et des extensions de sens partiellement divergentes, ou bien ont-ils deux noyaux différents et leur domaine de superposition est-il un effet de la convergence de leurs extensions de sens ? Telle est la question à laquelle je me propose de chercher une réponse méthodique à l’aide de trois types d’outils :