Vertical ground reaction force supports brief sprinting in female soccer players

Purpose

This study examined vertical ground reaction forces and their association towards supporting brief and prolonged musculoskeletal performance in female adolescent soccer players.

Methods

Twenty female soccer players with an age of 19.6 ± 1.3 (y), including 3-goal keepers, 9-defenders, 4-mid-fielders, and 4-forwards, were examined once per month over a three-month period. Vertical ground reaction forces were derived from the stretch-shortening cycle during a counter movement jump on a dual force plate system to calculate peak braking force (N), force at minimum displacement (N) and peak propulsive force (N). Brief muscular performance was examined using jump height (cm) and 5 m and 10 m sprint time (s). Prolonged muscular performance was assessed using 25 m sprint time (s) and the YoYo IRTL-l test (m). Linear regression analysis was used to examine the association between vertical ground reaction forces and muscular performance measures.

Results

In all, 5 m sprint time displayed significant associations with peak propulsive force (r = −0.47, P = 0.000), force at minimum displacement (r = −0.40, P = 0.004) and peak breaking force (r = −0.40, P = 0.005). A significant association was observed between 10 m sprint time and peak propulsive force (r = −0.39, P = 0.005), force at minimum displacement (r = −0.35, P = 0.012), and peak breaking force (r = −0.36, P = 0.010). Indices of prolonged muscular performance were not significantly associated with vertical ground reaction forces.

Conclusion

Vertical ground reaction forces support 5 m and 10 m sprint speed in adolescent female soccer players.

Objectif

Cette étude a permis d’examiner les forces de réaction verticales au sol et leur association aux performances musculosquelettiques brèves et prolongées chez des joueuses de football adolescentes.

Méthodes

Vingt joueuses de football âgées de 19,6 ± 1,3 (ans), dont 3 gardiennes de but, 9 défenseures, 4 milieux de terrain et 4 attaquantes, ont été examinées une fois par mois sur une période de trois mois. Les forces de réaction verticales au sol ont été dérivées du cycle d’étirement-raccourcissement lors d’un saut à contre-mouvement sur un système à double plateformes de force pour calculer la force de freinage maximale (N), la force au déplacement minimum (N) et la force de propulsion maximale (N). De brèves performances musculaires ont été examinées en utilisant la hauteur de saut (cm) et le temps (s) de sprint de 5 m et 10 m. Les performances musculaires prolongées ont été évaluées à l’aide d’un temps de sprint de 25 m (s) et du test YoYo IRTL-l (m). Une analyse de régression linéaire a été utilisée pour examiner l’association entre les forces de réaction verticales au sol et les mesures de performance musculaire.

Résultats

Le temps de sprint sur 5 m a montré des associations significatives avec la force de propulsion maximale (r = −0,47, p = 0,000), la force au déplacement minimum (r = −0,40, p = 0,004) et la force de rupture maximale (r = −0,40, p = 0,005). Une association significative a été observée entre le temps de sprint sur 10 m et la force de propulsion maximale (r = −0,39, p = 0,005), la force au déplacement minimum (r = −0,35, p = 0,012), et la force de rupture maximale (r = −0,36, p = 0,010). Les indices de performance musculaire prolongée n’étaient pas significativement associés aux forces de réaction verticales du sol.

Conclusion

Les forces de réaction verticales au sol sont associées aux vitesses de sprint sur 5 m et 10 m chez les adolescentes footballeuses.