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Enquête auprès des anciens élèves de l’INSP sur la transition écologique
Une forte inquiétude face aux enjeux écologiques : la situation de l’environnement est jugée comme alarmante ou préoccupante par 94 % (alarmante par 45 %). L’État premier acteur, le progrès technique une solution partielle: l’État vient en premier (74 %) lorsqu’il s’agit de savoir qui a la responsabilité pour agir (entreprises (35 %) et collectivités (31 %) viennent ensuite). Le progrès technique est jugé comme une solution importante ou majeure par 36 % et n’apparaît pas ou peu comme une solution à 28 %. Un regard critique sur le niveau d’implication de sa structure : 60 % estiment que leur structure n’est pas assez investie dans le sujet, ce pourcentage atteint 66 % dans la fonction publique. Les freins les plus cités sont l’inertie des modes d’organisation (plus de la moitié), le coût (43 %), la culture de l’organisation (37 %). Une implication ou une volonté d’implication personnelle forte : seuls 24 % se déclarent non engagés parce que démunis ou non concernés. Un manque de compétences: plus des deux tiers estiment avoir besoin de nouvelles compétences sachant que les trois quarts disent ne pas avoir reçu de formation sur les enjeux écologiques. Une attente forte à l’égard de Servir: plus de trois quarts considèrent que Servir devrait accompagner les anciens élèves sur les enjeux écologiques (80 % chez les moins de 65 ans).