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Le processus qui a conduit aux événements d’octobre 2019 au Chili a généralement été interprété comme l’effet explosif d’une « accumulation » de troubles, qui s’est développée au cours des trois décennies qui ont suivi la fin de la dictature de Pinochet. Avec le résultat négatif du plébiscite du 4 septembre 2022 la métaphore de l’« accumulation » est tombée. Qu’est-ce désormais que cette révolte sans révolution ? La révolte est-elle un moment interne au néolibéralisme ?