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Comment intervenir aupres d'un public de jeunes errants chez qui n'existent ni la demande initiale, ni la duree necessaire a une relation, ni le moindre projet d'integration sociale ? Le seul moyen de contact actuellement experimente, et qui semble fonctionner, est celui de lieux d'ecoute inconditionnels. Mais les travailleurs sociaux peuvent-ils se satisfaire de la transformation d'une errance itinerante permanente en une marginalite sedentarisee ?