Growing Your Own Food and Dietary Quality: Results from a Survey
Culture d'aliments pour sa consommation propre et qualité du régime alimentaire : résultats d'une enquête
Eigener Anbau von Lebensmitteln und Qualität der Ernährung: Ergebnisse einer Umfrage
{"title":"Growing Your Own Food and Dietary Quality: Results from a Survey\n Culture d'aliments pour sa consommation propre et qualité du régime alimentaire : résultats d'une enquête\n Eigener Anbau von Lebensmitteln und Qualität der Ernährung: Ergebnisse einer Umfrage","authors":"Larissa Drescher, Carola Grebitus","doi":"10.1111/1746-692X.12455","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"<p>Les jardins communautaires et privés offrent aux citoyens la possibilité de cultiver des aliments pour leur propre consommation. Cultiver sa propre nourriture présente de nombreux avantages pour la santé personnelle, communautaire et environnementale. Notre étude vérifie si l'hypothèse courante selon laquelle l'amélioration de l'accès à l'alimentation et à la nutrition grâce à la culture de sa propre nourriture est en fait liée à une meilleure alimentation. Notre étude teste comment la culture d'aliments dans des jardins potagers communautaires, privés ou dans les deux endroits modifie la qualité du régime alimentaire des cultivateurs en appliquant différents indices. L'indice de diversité des aliments sains et le Berry Index sont utilisés comme approximation pour mesurer la qualité alimentaire, tandis qu'un indicateur de consommation de produits est utilisé comme mesure simple d'une alimentation saine. Nous constatons que cultiver sa propre nourriture dans les jardins potagers communautaires et privés est associé à la consommation la plus élevée de fruits et de légumes, tandis que ne pas cultiver d'aliments est associé à la consommation la plus faible de ces produits. Dans l'ensemble, les résultats montrent que la culture d'aliments est associée à des valeurs de qualité alimentaire plus élevées, ce qui pourrait indiquer que les jardins potagers privés et communautaires seraient bénéfiques pour la santé des individus. L'association négative identifiée entre l'absence de culture d'aliments et la qualité du régime alimentaire pourrait mettre en évidence la nécessité de promouvoir des programmes de culture vivrière dans les jardins communautaires, dans les jardins privés, ou même dans les deux endroits.</p><p>Gemeinschafts- und Privatgärten bieten die Möglichkeit eigene Lebensmittel zu erzeugen. Dabei kann der eigene Anbau von Lebensmitteln viele Vorteile für die Gesundheit haben. In unserer Studie überprüfen wir die weit verbreitete Annahme, dass der Anbau eigener Lebensmittel zu einer besseren Ernährung führt. Wir untersuchen, wie sich der Anbau von Lebensmitteln zu Hause oder in Gemeinschaftsgärten auf die persönliche Ernährungsqualität auswirkt. Zur Messung dieser werden der <i>Healthy Food Diversity Index</i> und der <i>Berry-Index</i> herangezogen. Des Weiteren dient uns ein Indikator für den Verzehr von Obst und Gemüse als einfaches Maß für eine gesunde Ernährung. Unsere Analysen zeigen, dass der Anbau von Lebensmitteln zu Hause und in Gemeinschaftsgärten mit dem höchsten Obst- und Gemüsekonsum verbunden ist. Werden dagegen keine Lebensmittel selber angebaut, so ist der Verzehr von Obst und Gemüse am geringsten. Insgesamt zeigen unsere Ergebnisse, dass der Anbau von Lebensmitteln mit höheren Werten bei der Ernährungsqualität verbunden ist. Das kann darauf hindeuten, dass Haus- und Gemeinschaftsgärten für die Gesundheit des Einzelnen von Vorteil sind. Der negative Zusammenhang zwischen dem Verzicht, eigene Lebensmittel anzubauen, und der Ernährungsqualität könnte die Notwendigkeit unterstreichen, Maßnahmen für den Anbau von Lebensmitteln in Gemeinschaftsgärten und in Privatgärten zu fördern.</p>","PeriodicalId":44823,"journal":{"name":"EuroChoices","volume":"24 1","pages":"72-77"},"PeriodicalIF":2.4000,"publicationDate":"2024-10-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"EuroChoices","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/1746-692X.12455","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"Q2","JCRName":"AGRICULTURAL ECONOMICS & POLICY","Score":null,"Total":0}
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Abstract
Les jardins communautaires et privés offrent aux citoyens la possibilité de cultiver des aliments pour leur propre consommation. Cultiver sa propre nourriture présente de nombreux avantages pour la santé personnelle, communautaire et environnementale. Notre étude vérifie si l'hypothèse courante selon laquelle l'amélioration de l'accès à l'alimentation et à la nutrition grâce à la culture de sa propre nourriture est en fait liée à une meilleure alimentation. Notre étude teste comment la culture d'aliments dans des jardins potagers communautaires, privés ou dans les deux endroits modifie la qualité du régime alimentaire des cultivateurs en appliquant différents indices. L'indice de diversité des aliments sains et le Berry Index sont utilisés comme approximation pour mesurer la qualité alimentaire, tandis qu'un indicateur de consommation de produits est utilisé comme mesure simple d'une alimentation saine. Nous constatons que cultiver sa propre nourriture dans les jardins potagers communautaires et privés est associé à la consommation la plus élevée de fruits et de légumes, tandis que ne pas cultiver d'aliments est associé à la consommation la plus faible de ces produits. Dans l'ensemble, les résultats montrent que la culture d'aliments est associée à des valeurs de qualité alimentaire plus élevées, ce qui pourrait indiquer que les jardins potagers privés et communautaires seraient bénéfiques pour la santé des individus. L'association négative identifiée entre l'absence de culture d'aliments et la qualité du régime alimentaire pourrait mettre en évidence la nécessité de promouvoir des programmes de culture vivrière dans les jardins communautaires, dans les jardins privés, ou même dans les deux endroits.
Gemeinschafts- und Privatgärten bieten die Möglichkeit eigene Lebensmittel zu erzeugen. Dabei kann der eigene Anbau von Lebensmitteln viele Vorteile für die Gesundheit haben. In unserer Studie überprüfen wir die weit verbreitete Annahme, dass der Anbau eigener Lebensmittel zu einer besseren Ernährung führt. Wir untersuchen, wie sich der Anbau von Lebensmitteln zu Hause oder in Gemeinschaftsgärten auf die persönliche Ernährungsqualität auswirkt. Zur Messung dieser werden der Healthy Food Diversity Index und der Berry-Index herangezogen. Des Weiteren dient uns ein Indikator für den Verzehr von Obst und Gemüse als einfaches Maß für eine gesunde Ernährung. Unsere Analysen zeigen, dass der Anbau von Lebensmitteln zu Hause und in Gemeinschaftsgärten mit dem höchsten Obst- und Gemüsekonsum verbunden ist. Werden dagegen keine Lebensmittel selber angebaut, so ist der Verzehr von Obst und Gemüse am geringsten. Insgesamt zeigen unsere Ergebnisse, dass der Anbau von Lebensmitteln mit höheren Werten bei der Ernährungsqualität verbunden ist. Das kann darauf hindeuten, dass Haus- und Gemeinschaftsgärten für die Gesundheit des Einzelnen von Vorteil sind. Der negative Zusammenhang zwischen dem Verzicht, eigene Lebensmittel anzubauen, und der Ernährungsqualität könnte die Notwendigkeit unterstreichen, Maßnahmen für den Anbau von Lebensmitteln in Gemeinschaftsgärten und in Privatgärten zu fördern.
期刊介绍:
EuroChoices is a full colour, peer reviewed, outreach journal of topical European agri-food and rural resource issues, published three times a year in April, August and December. Its main aim is to bring current research and policy deliberations on agri-food and rural resource issues to a wide readership, both technical & non-technical. The need for this is clear - there are great changes afoot in the European and global agri-food industries and rural areas, which are of enormous impact and concern to society. The issues which underlie present deliberations in the policy and private sectors are complex and, until now, normally expressed in impenetrable technical language.