{"title":"Enquête auprès des anciens élèves de l’INSP sur la transition écologique","authors":"","doi":"10.3917/admi.282.0090","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Une forte inquiétude face aux enjeux écologiques : la situation de l’environnement est jugée comme alarmante ou préoccupante par 94 % (alarmante par 45 %). L’État premier acteur, le progrès technique une solution partielle: l’État vient en premier (74 %) lorsqu’il s’agit de savoir qui a la responsabilité pour agir (entreprises (35 %) et collectivités (31 %) viennent ensuite). Le progrès technique est jugé comme une solution importante ou majeure par 36 % et n’apparaît pas ou peu comme une solution à 28 %. Un regard critique sur le niveau d’implication de sa structure : 60 % estiment que leur structure n’est pas assez investie dans le sujet, ce pourcentage atteint 66 % dans la fonction publique. Les freins les plus cités sont l’inertie des modes d’organisation (plus de la moitié), le coût (43 %), la culture de l’organisation (37 %). Une implication ou une volonté d’implication personnelle forte : seuls 24 % se déclarent non engagés parce que démunis ou non concernés. Un manque de compétences: plus des deux tiers estiment avoir besoin de nouvelles compétences sachant que les trois quarts disent ne pas avoir reçu de formation sur les enjeux écologiques. Une attente forte à l’égard de Servir: plus de trois quarts considèrent que Servir devrait accompagner les anciens élèves sur les enjeux écologiques (80 % chez les moins de 65 ans).","PeriodicalId":505547,"journal":{"name":"Administration","volume":"7 4","pages":""},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2024-07-10","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Administration","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3917/admi.282.0090","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
引用次数: 0
Abstract
Une forte inquiétude face aux enjeux écologiques : la situation de l’environnement est jugée comme alarmante ou préoccupante par 94 % (alarmante par 45 %). L’État premier acteur, le progrès technique une solution partielle: l’État vient en premier (74 %) lorsqu’il s’agit de savoir qui a la responsabilité pour agir (entreprises (35 %) et collectivités (31 %) viennent ensuite). Le progrès technique est jugé comme une solution importante ou majeure par 36 % et n’apparaît pas ou peu comme une solution à 28 %. Un regard critique sur le niveau d’implication de sa structure : 60 % estiment que leur structure n’est pas assez investie dans le sujet, ce pourcentage atteint 66 % dans la fonction publique. Les freins les plus cités sont l’inertie des modes d’organisation (plus de la moitié), le coût (43 %), la culture de l’organisation (37 %). Une implication ou une volonté d’implication personnelle forte : seuls 24 % se déclarent non engagés parce que démunis ou non concernés. Un manque de compétences: plus des deux tiers estiment avoir besoin de nouvelles compétences sachant que les trois quarts disent ne pas avoir reçu de formation sur les enjeux écologiques. Une attente forte à l’égard de Servir: plus de trois quarts considèrent que Servir devrait accompagner les anciens élèves sur les enjeux écologiques (80 % chez les moins de 65 ans).