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Abstract:Lire Maurice Blanchot à l’aune du concept de plasticité élaboré par Catherine Malabou. Voilà, en clair, ce que nous nous proposons de faire. Un texte de Malabou sur ce qu’elle nomme la « neuro-littérature » servira de catalyseur à la lecture, le « dehors » de Blanchot de point névralgique des enjeux que renferme la question de la littérature, de l’art. Question dont Malabou pratiquerait la relève neurobiologique, c’est-à-dire, selon l’hypothèse que nous avançons ici, la relève aussi d’une certaine tradition esthétique dans la déconstruction.