{"title":"就像墙上的一盏灯。校对内莉·萨克斯和保罗·塞拉的信件","authors":"Andrée Lerousseau","doi":"10.4000/GERMANICA.9338","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Linie wielebendiges Haar gezogentodnachtgedunkeltvon dirzu mir. La premiere strophe du poeme par lequel debute la lettre que Nelly Sachs envoie le 11 septembre 1958 a la famille Celan entre en resonnance avec l’eau-forte Presence – Gegenwart que Gisele Celan-Lestrange lui avait fait parvenir par l’intermediaire de Lenke Rothmann. Cette « merveilleuse feuille » a laquelle la poetesse fait maintes fois reference, constitue a ses yeux « un havre precieux », et peut-etre lit-elle dans cet encheve...","PeriodicalId":41515,"journal":{"name":"COLLOQUIA GERMANICA","volume":"2 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.1000,"publicationDate":"2020-12-18","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Comme une clarté sur le mur, malgré tout. Relecture de la correspondance de Nelly Sachs et Paul Celan1\",\"authors\":\"Andrée Lerousseau\",\"doi\":\"10.4000/GERMANICA.9338\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Linie wielebendiges Haar gezogentodnachtgedunkeltvon dirzu mir. La premiere strophe du poeme par lequel debute la lettre que Nelly Sachs envoie le 11 septembre 1958 a la famille Celan entre en resonnance avec l’eau-forte Presence – Gegenwart que Gisele Celan-Lestrange lui avait fait parvenir par l’intermediaire de Lenke Rothmann. Cette « merveilleuse feuille » a laquelle la poetesse fait maintes fois reference, constitue a ses yeux « un havre precieux », et peut-etre lit-elle dans cet encheve...\",\"PeriodicalId\":41515,\"journal\":{\"name\":\"COLLOQUIA GERMANICA\",\"volume\":\"2 1\",\"pages\":\"\"},\"PeriodicalIF\":0.1000,\"publicationDate\":\"2020-12-18\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"COLLOQUIA GERMANICA\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.4000/GERMANICA.9338\",\"RegionNum\":4,\"RegionCategory\":\"文学\",\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"0\",\"JCRName\":\"LANGUAGE & LINGUISTICS\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"COLLOQUIA GERMANICA","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.4000/GERMANICA.9338","RegionNum":4,"RegionCategory":"文学","ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"0","JCRName":"LANGUAGE & LINGUISTICS","Score":null,"Total":0}
Comme une clarté sur le mur, malgré tout. Relecture de la correspondance de Nelly Sachs et Paul Celan1
Linie wielebendiges Haar gezogentodnachtgedunkeltvon dirzu mir. La premiere strophe du poeme par lequel debute la lettre que Nelly Sachs envoie le 11 septembre 1958 a la famille Celan entre en resonnance avec l’eau-forte Presence – Gegenwart que Gisele Celan-Lestrange lui avait fait parvenir par l’intermediaire de Lenke Rothmann. Cette « merveilleuse feuille » a laquelle la poetesse fait maintes fois reference, constitue a ses yeux « un havre precieux », et peut-etre lit-elle dans cet encheve...