{"title":"《乌伦斯皮格尔传奇》的新权威版","authors":"J. Klinkenberg","doi":"10.4000/TEXTYLES.3136","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"1. Un livre mal ne ? Dans les derniers jours de 1867, paraissait chez l’editeur parisien Lacroix et Verboeckhoven (qui avait publie Les Miserables un peu auparavant) un gros et luxueux ouvrage dans laquelle on a cru voir l’œuvre matricielle de la litterature francophone de Belgique : La Legende d’Ulenspiegel. Comme la critique l’a souligne a maintes reprises, le destin de ce texte emblematique n’est pas exempt de paradoxes : un ecrit fondateur, mais peu lu ; un livre patrial, mais polemique ;...","PeriodicalId":22218,"journal":{"name":"Textyles","volume":"38 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2019-03-15","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Une nouvelle édition définitive de La Légende d’Ulenspiegel\",\"authors\":\"J. Klinkenberg\",\"doi\":\"10.4000/TEXTYLES.3136\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"1. Un livre mal ne ? Dans les derniers jours de 1867, paraissait chez l’editeur parisien Lacroix et Verboeckhoven (qui avait publie Les Miserables un peu auparavant) un gros et luxueux ouvrage dans laquelle on a cru voir l’œuvre matricielle de la litterature francophone de Belgique : La Legende d’Ulenspiegel. Comme la critique l’a souligne a maintes reprises, le destin de ce texte emblematique n’est pas exempt de paradoxes : un ecrit fondateur, mais peu lu ; un livre patrial, mais polemique ;...\",\"PeriodicalId\":22218,\"journal\":{\"name\":\"Textyles\",\"volume\":\"38 1\",\"pages\":\"\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2019-03-15\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Textyles\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.4000/TEXTYLES.3136\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Textyles","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.4000/TEXTYLES.3136","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
Une nouvelle édition définitive de La Légende d’Ulenspiegel
1. Un livre mal ne ? Dans les derniers jours de 1867, paraissait chez l’editeur parisien Lacroix et Verboeckhoven (qui avait publie Les Miserables un peu auparavant) un gros et luxueux ouvrage dans laquelle on a cru voir l’œuvre matricielle de la litterature francophone de Belgique : La Legende d’Ulenspiegel. Comme la critique l’a souligne a maintes reprises, le destin de ce texte emblematique n’est pas exempt de paradoxes : un ecrit fondateur, mais peu lu ; un livre patrial, mais polemique ;...