神圣的变色龙:利奥波德·霍夫曼的圣歌的形式、功能和传播模式

IF 0.2 3区 艺术学 0 MUSIC
Allan Badley
{"title":"神圣的变色龙:利奥波德·霍夫曼的圣歌的形式、功能和传播模式","authors":"Allan Badley","doi":"10.1353/fam.2023.0004","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Abstract:While the eighteenth-century Viennese Mass, oratorio, cantata, and litany have all been the focus of independent genre studies, smaller-scale settings of liturgical and non-liturgical texts, of which hundreds of exemplars survive, have been largely ignored. One of the most interesting of these genres, the motet, is also arguably the most complex in terms of textual studies since these works were treated as flexible musical texts that could be adapted for specific occasions throughout the liturgical year. The process of adaptation extended beyond the provision of contrafacta. Multi-movement motets were frequently dismembered, their individual arias and closing choruses appropriated for new purposes. The extent to which this practice flourished is evident both from extant manuscript copies of the works and entries in contemporary thematic catalogues. Inconsistent nomenclature and the flexible approach to instrumentation that characterises so much eighteenth-century music compounds the problem of establishing the original form and function of much of this repertory.One of the most widely disseminated Viennese composers of motets during this period was Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori at St Peter’s from ca. 1764 and from 1772, Kapellmeister at St Stephen’s Cathedral. Over sixty motets and offertories survive in attributions to Hofmann of which thirty-three have strong claims to authenticity. Of these authentic works, a third are cast in a single movement while the remainder are dominated by three-movement cycles. Taking three representative works as case studies, this article examines how these motets were employed during the composer’s lifetime, the extent to which he may have initiated or condoned the use of contrafacta, and how they were adapted elsewhere for other liturgical functions.Abstract:Alors que la messe, l’oratorio, la cantate et la litanie viennois du dix-huitième siècle ont tous fait l’objet d’études de genre indépendantes, les mises en musique à plus petite échelle de textes liturgiques et non liturgiques, dont des centaines d’exemplaires ont survécu, ont été largement ignorées. L’un des genres les plus intéressants, le motet, est aussi sans doute le plus complexe en termes d’études de la textualité, dans la mesure où ces œuvres étaient traitées comme des textes musicaux flexibles pouvant être adaptés à des occasions spécifiques tout au long de l’année liturgique. Le processus d’adaptation allait au-delà de la production de contrafacta. Les motets à plusieurs mouvements étaient souvent décomposés, leurs arias isolés et leurs chœurs de clôture étant adaptés à de nouvelles fins. La proportion dans laquelle cette pratique s’est développée est manifeste tant dans les copies manuscrites des œuvres qui subsistent que dans les entrées des catalogues thématiques contemporains. Compte tenu de la souplesse de la nomenclature et de l’approche instrumentale qui caractérise une grande partie de la musique du XVIIIe siècle, il est difficile de déterminer la forme et la fonction originales d’une grande partie de ce répertoire.L’un des compositeurs viennois de motets les plus largement disséminés à cette époque est Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori à Saint-Pierre à partir de 1764 environ et, à partir de 1772, Kapellmeister à la cathédrale Saint-Étienne. Plus de soixante motets et offertoires ont été attribués à Hofmann, dont trente-trois ont de fortes chances d’être authentiques. Parmi ces œuvres authentiques, un tiers est composé d’un seul mouvement, tandis que le reste est principalement composé de cycles de trois mouvements. En prenant trois œuvres représentatives comme études de cas, cet article examine comment ces motets étaient utilisés du vivant du compositeur, dans quelle mesure il a pu initier ou tolérer l’utilisation de la contrafacta, et comment ils ont été adaptés ailleurs pour d’autres fonctions liturgiques.Abstract:Während wichtige Gattungen des 18. Jahrhunderts, wie die Wiener Messe, das Oratorium, die Kantate und die Litanei, alle im Mittelpunkt einzelner Genrestudien standen, wurden kleinere Vertonungen liturgischer und nicht-liturgischer Texte, von denen Hunderte erhalten sind, weitgehend ignoriert. Die Motette ist nicht nur eine der interessantesten dieser Gattungen, sondern wohl auch die komplexeste im Hinblick auf Textstudien, da Motetten als flexible Notentexte behandelt wurden, die während des gesamten liturgischen Jahres für bestimmte Anlässe angepasst werden konnten. Dieser Anpassungsprozess ging über die Erstellung von Kontrafakturen hinaus. Mehrsätzige Motetten wurden häufig zerstückelt, ihre einzelnen Arien und Schlusschöre für neue Zwecke angepasst. Das Ausmaß, in dem diese Praxis um sich griff, ist sowohl aus erhaltenen Manuskriptabschriften als auch aus Einträgen in zeitgenössischen thematischen Katalogen ersichtlich. Die widersprüchliche Nomenklatur und die flexible Instrumentierungspraxis, die für einen Großteil der Musik des 18. Jahrhunderts typisch ist, verschärft in den meisten Fällen das Problem, die ursprüngliche Form und Funktion dieses Repertoires festzustellen.Einer der am weitesten verbreiteten Wiener Motettenkomponisten dieser Zeit war Leopold Hofmann (1738–1793), seit ca. 1764 Chorleiter in St. Peter und ab 1772 Kapellmeister am Stephansdom. Über sechzig Motetten und Offertorien sind Hofmann zugeschrieben, von denen dreiunddreißig einen starken Anspruch auf Authentizität erheben. Ein Drittel dieser authentischen Werke besteht aus einem einzigen Satz, während der Rest überwiegend dreisätzig angelegt wurde. Anhand von drei als Fallstudien repräsentativ ausgewählten Werken untersucht der Artikel, wie diese Motetten zu Lebzeiten des Komponisten verwendet wurden, inwieweit Hofmann selbst die Verwendung von Kontrafakturen initiiert oder geduldet hat und wie die Werke anderswo für abweichende liturgische Funktionen adaptiert wurden.","PeriodicalId":41623,"journal":{"name":"FONTES ARTIS MUSICAE","volume":"70 1","pages":"16 - 33"},"PeriodicalIF":0.2000,"publicationDate":"2023-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Sacred Chameleons: Form, Function, and Dissemination Patterns in the Motets of Leopold Hofmann\",\"authors\":\"Allan Badley\",\"doi\":\"10.1353/fam.2023.0004\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Abstract:While the eighteenth-century Viennese Mass, oratorio, cantata, and litany have all been the focus of independent genre studies, smaller-scale settings of liturgical and non-liturgical texts, of which hundreds of exemplars survive, have been largely ignored. 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Inconsistent nomenclature and the flexible approach to instrumentation that characterises so much eighteenth-century music compounds the problem of establishing the original form and function of much of this repertory.One of the most widely disseminated Viennese composers of motets during this period was Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori at St Peter’s from ca. 1764 and from 1772, Kapellmeister at St Stephen’s Cathedral. Over sixty motets and offertories survive in attributions to Hofmann of which thirty-three have strong claims to authenticity. Of these authentic works, a third are cast in a single movement while the remainder are dominated by three-movement cycles. Taking three representative works as case studies, this article examines how these motets were employed during the composer’s lifetime, the extent to which he may have initiated or condoned the use of contrafacta, and how they were adapted elsewhere for other liturgical functions.Abstract:Alors que la messe, l’oratorio, la cantate et la litanie viennois du dix-huitième siècle ont tous fait l’objet d’études de genre indépendantes, les mises en musique à plus petite échelle de textes liturgiques et non liturgiques, dont des centaines d’exemplaires ont survécu, ont été largement ignorées. L’un des genres les plus intéressants, le motet, est aussi sans doute le plus complexe en termes d’études de la textualité, dans la mesure où ces œuvres étaient traitées comme des textes musicaux flexibles pouvant être adaptés à des occasions spécifiques tout au long de l’année liturgique. Le processus d’adaptation allait au-delà de la production de contrafacta. Les motets à plusieurs mouvements étaient souvent décomposés, leurs arias isolés et leurs chœurs de clôture étant adaptés à de nouvelles fins. La proportion dans laquelle cette pratique s’est développée est manifeste tant dans les copies manuscrites des œuvres qui subsistent que dans les entrées des catalogues thématiques contemporains. Compte tenu de la souplesse de la nomenclature et de l’approche instrumentale qui caractérise une grande partie de la musique du XVIIIe siècle, il est difficile de déterminer la forme et la fonction originales d’une grande partie de ce répertoire.L’un des compositeurs viennois de motets les plus largement disséminés à cette époque est Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori à Saint-Pierre à partir de 1764 environ et, à partir de 1772, Kapellmeister à la cathédrale Saint-Étienne. Plus de soixante motets et offertoires ont été attribués à Hofmann, dont trente-trois ont de fortes chances d’être authentiques. 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Die Motette ist nicht nur eine der interessantesten dieser Gattungen, sondern wohl auch die komplexeste im Hinblick auf Textstudien, da Motetten als flexible Notentexte behandelt wurden, die während des gesamten liturgischen Jahres für bestimmte Anlässe angepasst werden konnten. Dieser Anpassungsprozess ging über die Erstellung von Kontrafakturen hinaus. Mehrsätzige Motetten wurden häufig zerstückelt, ihre einzelnen Arien und Schlusschöre für neue Zwecke angepasst. Das Ausmaß, in dem diese Praxis um sich griff, ist sowohl aus erhaltenen Manuskriptabschriften als auch aus Einträgen in zeitgenössischen thematischen Katalogen ersichtlich. Die widersprüchliche Nomenklatur und die flexible Instrumentierungspraxis, die für einen Großteil der Musik des 18. Jahrhunderts typisch ist, verschärft in den meisten Fällen das Problem, die ursprüngliche Form und Funktion dieses Repertoires festzustellen.Einer der am weitesten verbreiteten Wiener Motettenkomponisten dieser Zeit war Leopold Hofmann (1738–1793), seit ca. 1764 Chorleiter in St. Peter und ab 1772 Kapellmeister am Stephansdom. Über sechzig Motetten und Offertorien sind Hofmann zugeschrieben, von denen dreiunddreißig einen starken Anspruch auf Authentizität erheben. Ein Drittel dieser authentischen Werke besteht aus einem einzigen Satz, während der Rest überwiegend dreisätzig angelegt wurde. 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摘要

摘要:虽然18世纪维也纳弥撒、清唱剧、康塔塔和祷文都是独立体裁研究的焦点,但较小规模的礼仪和非礼仪文本(其中数百个范例幸存下来)却在很大程度上被忽视了。这些流派中最有趣的一种,圣歌,也可以说是最复杂的文本研究,因为这些作品被视为灵活的音乐文本,可以在整个礼仪年的特定场合进行改编。适应的过程超出了提供合同的范围。多乐章颂歌经常被肢解,它们的个别咏叹调和结尾合唱被用于新的目的。从现存的作品手稿副本和当代主题目录的条目中可以明显看出这种做法的繁荣程度。不一致的命名法和灵活的乐器方法是18世纪音乐的特点,这使得建立这些曲目的原始形式和功能的问题更加复杂。在这一时期,最广为流传的维也纳圣歌作曲家之一是利奥波德·霍夫曼(1738-1793),他从1764年起在圣彼得教堂担任合唱团指挥,从1772年起在圣斯蒂芬大教堂担任乐队指挥。霍夫曼的60多首颂歌和祭品幸存下来,其中33首具有很强的真实性。在这些真正的作品中,三分之一是在一个乐章中铸造的,而其余的则以三个乐章的循环为主。本文以三个代表性作品作为案例研究,考察了这些颂歌在作曲家的一生中是如何被使用的,他可能在多大程度上发起或宽恕了契约的使用,以及它们是如何在其他地方被用于其他礼拜功能的。摘要:“信息”、“清说”、“音乐”、“小型”、“礼仪”、“非礼仪”、“样本”、“调查”、“大型”、“不考虑”、“不考虑”、“不考虑”。L ' un des styles les + intacresants, le moet, est aussi sans doute le +复杂的en术语d ' samuentalit<s:1>, dans la mesuresoù ces œuvres samuenttritans comme des textesmusicaux flexibles pouant être adaptsamuresides场合spacimciques tout au long de L ' annsamulitgique。“适应的过程”是指“契约的生产”。这些motets - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -La比例在那个这个检疫年代是developpee manifeste如此更在副本manuscrites desœ紫外线辐射,现存的,在主菜des目录thematiques contemporains。完成命名法的规定和第十八届<s:1> <s:1> <s:1> <s:1> <s:1> <s:1> <s:1> <s:1> <s:1> - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -在作曲方面,维也纳的motets - les和大型的disssamsamminsamas - cette - csamet est Leopold Hofmann (1738-1793), regens chori <s:1> Saint- pierre <e:1>(1764年),environ et(1772年),Kapellmeister(1772年),<s:2> cathsamdrale Saint-Étienne。加上de soixante motets et offertoires ont samuest attribus Hofmann, don trente-trois ont de fortes chance d ' être authenticques。Parmi ces œuvres authentiques, untiers est compos作曲d 'un seul movement, andis que le restest principalement compos作曲de cycles de trois movement。在prenant trois œuvres代表的情况下,本文审查了下列评注:<s:1> <s:2> <s:2>或更大的跨度- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -摘要:Während wichtige Gattungen des 18。《哲学与哲学》,《哲学与文学》,《哲学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》,《文学与文学》。Die Motette ist nicht nur eine der interessantesten dieser Gattungen,现代世界中每个Die komplexeste im Hinblick auf Textstudien, da Motetten als flexible Notentexte behandelt wurden, Die während des gesamten liturgischen Jahres f<e:1>最估计的Anlässe angep助理werden konten。[3]中国交通运输管理研究进展。Mehrsätzige Motetten wurden häufig zerst<e:1> ckelt, ihre einzelnen Arien and Schlusschöre fhre neue Zwecke angep助理。as ausmasß, in dem diese Praxis um sgriff, ist sowohl aus erhaltenen Manuskriptabschriften als aucch aus Einträgen in zeitgenössischen thematischen Katalogen ersichtlich。18. Die widerspr<s:1> chliche Nomenklatur and Die flexible Instrumentierungspraxis, Die f<s:1> einen Großteil der Musik des。 然而,在大多数情况下,这一曲目的原版和功能都受到了挑战。当时维也纳流行的音乐作曲家之一是斯蒂芬尼大教堂1764年左右的圣彼得合唱团团长和1772年起的司仪。霍夫曼有六十多名堂堂和宫廷供职,其中三十多个人要求确定。三分之一的作品是由一套作品组成的,其余的大部分是精心设计的。本文将根据三项案例研究中具有代表性的作品,分析了作曲家在世时使用这些模型的方式、霍夫曼本人是否提出或容忍使用假配对的情况,以及作品是如何在其他地方适应不同的lial功能的。
本文章由计算机程序翻译,如有差异,请以英文原文为准。
Sacred Chameleons: Form, Function, and Dissemination Patterns in the Motets of Leopold Hofmann
Abstract:While the eighteenth-century Viennese Mass, oratorio, cantata, and litany have all been the focus of independent genre studies, smaller-scale settings of liturgical and non-liturgical texts, of which hundreds of exemplars survive, have been largely ignored. One of the most interesting of these genres, the motet, is also arguably the most complex in terms of textual studies since these works were treated as flexible musical texts that could be adapted for specific occasions throughout the liturgical year. The process of adaptation extended beyond the provision of contrafacta. Multi-movement motets were frequently dismembered, their individual arias and closing choruses appropriated for new purposes. The extent to which this practice flourished is evident both from extant manuscript copies of the works and entries in contemporary thematic catalogues. Inconsistent nomenclature and the flexible approach to instrumentation that characterises so much eighteenth-century music compounds the problem of establishing the original form and function of much of this repertory.One of the most widely disseminated Viennese composers of motets during this period was Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori at St Peter’s from ca. 1764 and from 1772, Kapellmeister at St Stephen’s Cathedral. Over sixty motets and offertories survive in attributions to Hofmann of which thirty-three have strong claims to authenticity. Of these authentic works, a third are cast in a single movement while the remainder are dominated by three-movement cycles. Taking three representative works as case studies, this article examines how these motets were employed during the composer’s lifetime, the extent to which he may have initiated or condoned the use of contrafacta, and how they were adapted elsewhere for other liturgical functions.Abstract:Alors que la messe, l’oratorio, la cantate et la litanie viennois du dix-huitième siècle ont tous fait l’objet d’études de genre indépendantes, les mises en musique à plus petite échelle de textes liturgiques et non liturgiques, dont des centaines d’exemplaires ont survécu, ont été largement ignorées. L’un des genres les plus intéressants, le motet, est aussi sans doute le plus complexe en termes d’études de la textualité, dans la mesure où ces œuvres étaient traitées comme des textes musicaux flexibles pouvant être adaptés à des occasions spécifiques tout au long de l’année liturgique. Le processus d’adaptation allait au-delà de la production de contrafacta. Les motets à plusieurs mouvements étaient souvent décomposés, leurs arias isolés et leurs chœurs de clôture étant adaptés à de nouvelles fins. La proportion dans laquelle cette pratique s’est développée est manifeste tant dans les copies manuscrites des œuvres qui subsistent que dans les entrées des catalogues thématiques contemporains. Compte tenu de la souplesse de la nomenclature et de l’approche instrumentale qui caractérise une grande partie de la musique du XVIIIe siècle, il est difficile de déterminer la forme et la fonction originales d’une grande partie de ce répertoire.L’un des compositeurs viennois de motets les plus largement disséminés à cette époque est Leopold Hofmann (1738–1793), regens chori à Saint-Pierre à partir de 1764 environ et, à partir de 1772, Kapellmeister à la cathédrale Saint-Étienne. Plus de soixante motets et offertoires ont été attribués à Hofmann, dont trente-trois ont de fortes chances d’être authentiques. Parmi ces œuvres authentiques, un tiers est composé d’un seul mouvement, tandis que le reste est principalement composé de cycles de trois mouvements. En prenant trois œuvres représentatives comme études de cas, cet article examine comment ces motets étaient utilisés du vivant du compositeur, dans quelle mesure il a pu initier ou tolérer l’utilisation de la contrafacta, et comment ils ont été adaptés ailleurs pour d’autres fonctions liturgiques.Abstract:Während wichtige Gattungen des 18. Jahrhunderts, wie die Wiener Messe, das Oratorium, die Kantate und die Litanei, alle im Mittelpunkt einzelner Genrestudien standen, wurden kleinere Vertonungen liturgischer und nicht-liturgischer Texte, von denen Hunderte erhalten sind, weitgehend ignoriert. Die Motette ist nicht nur eine der interessantesten dieser Gattungen, sondern wohl auch die komplexeste im Hinblick auf Textstudien, da Motetten als flexible Notentexte behandelt wurden, die während des gesamten liturgischen Jahres für bestimmte Anlässe angepasst werden konnten. Dieser Anpassungsprozess ging über die Erstellung von Kontrafakturen hinaus. Mehrsätzige Motetten wurden häufig zerstückelt, ihre einzelnen Arien und Schlusschöre für neue Zwecke angepasst. Das Ausmaß, in dem diese Praxis um sich griff, ist sowohl aus erhaltenen Manuskriptabschriften als auch aus Einträgen in zeitgenössischen thematischen Katalogen ersichtlich. Die widersprüchliche Nomenklatur und die flexible Instrumentierungspraxis, die für einen Großteil der Musik des 18. Jahrhunderts typisch ist, verschärft in den meisten Fällen das Problem, die ursprüngliche Form und Funktion dieses Repertoires festzustellen.Einer der am weitesten verbreiteten Wiener Motettenkomponisten dieser Zeit war Leopold Hofmann (1738–1793), seit ca. 1764 Chorleiter in St. Peter und ab 1772 Kapellmeister am Stephansdom. Über sechzig Motetten und Offertorien sind Hofmann zugeschrieben, von denen dreiunddreißig einen starken Anspruch auf Authentizität erheben. Ein Drittel dieser authentischen Werke besteht aus einem einzigen Satz, während der Rest überwiegend dreisätzig angelegt wurde. Anhand von drei als Fallstudien repräsentativ ausgewählten Werken untersucht der Artikel, wie diese Motetten zu Lebzeiten des Komponisten verwendet wurden, inwieweit Hofmann selbst die Verwendung von Kontrafakturen initiiert oder geduldet hat und wie die Werke anderswo für abweichende liturgische Funktionen adaptiert wurden.
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