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Les silences de la langue paternelle, transmission et « écrypture »
Partant d’un lapsus, celui d’« écrypture », condensation des signifiants « crypte » et « écriture », ce texte interroge la non-transmission de la langue maternelle du père qualifiée de « langue paternelle » dans les situations de trauma et d’exil, en appui sur les ouvrages d’auteurs hongrois comme décor de l’histoire familiale. À la génération suivante, comment les cryptes paternelles auraient-elles contribué à la transmission des éléments traumatiques vécus avant l’exil ?