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Dido bonne martire. Lecture de la septième héroïde dans les manuscrits du Livre des Epistres d’Ovide d’Octovien de Saint-Gelais
La traduction des Héroïdes d’Ovide par Octovien de Saint-Gelais (1497) a connu un franc succès pendant environ cinquante ans. Aujourd’hui méconnu en raison de l’absence d’édition critique, ce très beau texte en décasyllabes mérite qu’on le relise. Cet article propose une lecture de la septième héroïde de Didon à Énée, en étudiant d’une part la méthode de traduction de Saint-Gelais (ajouts, omissions, paratextes) et d’autre part le remaniement normand anonyme du début du xvie siècle.