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Vaste territoire grand comme la Nouvelle Aquitaine mais peuplé de seulement 300 000 habitants, la Guyane a la particularité de compter deux immenses frontières terrestres françaises avec des pays n’appartenant pas à l’UE : le Surinam à l’ouest, sur le Maroni, et le Brésil à l’est, sur l’Oyapock. De tous temps, les hommes sont passés de l’une à l’autre des deux rives, et continuent de le faire malgré les frontières et les obligations qui en découlent. Comment dans ces conditions juguler ce mouvement, dans le respect de notre souveraineté ?