{"title":"21世纪的织物博物馆","authors":"M. Durand","doi":"10.4000/perspective.6240","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"La Chambre de Commerce de Lyon envisage de fonder un musee d’Art et d’Industrie a l’issue de l’Exposition universelle de Londres en 1851. Elle charge Natalis Rondot (1821-1900) de rediger un rapport fixant les objectifs et les orientations de cet etablissement. Pour cet industriel erudit, historien de l’art, charge de plusieurs missions internationales pour le developpement de l’industrie et du commerce, le projet est clair : il s’agit de fonder « un Musee ou seront reunis, avec un discerneme...","PeriodicalId":231148,"journal":{"name":"Perspective Magazine","volume":"5 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2016-06-30","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Un musée des Tissus au xxie siècle\",\"authors\":\"M. Durand\",\"doi\":\"10.4000/perspective.6240\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"La Chambre de Commerce de Lyon envisage de fonder un musee d’Art et d’Industrie a l’issue de l’Exposition universelle de Londres en 1851. Elle charge Natalis Rondot (1821-1900) de rediger un rapport fixant les objectifs et les orientations de cet etablissement. Pour cet industriel erudit, historien de l’art, charge de plusieurs missions internationales pour le developpement de l’industrie et du commerce, le projet est clair : il s’agit de fonder « un Musee ou seront reunis, avec un discerneme...\",\"PeriodicalId\":231148,\"journal\":{\"name\":\"Perspective Magazine\",\"volume\":\"5 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2016-06-30\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Perspective Magazine\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.4000/perspective.6240\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Perspective Magazine","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.4000/perspective.6240","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
La Chambre de Commerce de Lyon envisage de fonder un musee d’Art et d’Industrie a l’issue de l’Exposition universelle de Londres en 1851. Elle charge Natalis Rondot (1821-1900) de rediger un rapport fixant les objectifs et les orientations de cet etablissement. Pour cet industriel erudit, historien de l’art, charge de plusieurs missions internationales pour le developpement de l’industrie et du commerce, le projet est clair : il s’agit de fonder « un Musee ou seront reunis, avec un discerneme...