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Cette etude propose une approche du son d’ordre phenomenologique : elle fait abstraction de la reference a la source sonore et considere que le son, dans son apparition et son semantisme, n’est pas un objet mais un evenement en soi descriptible comme une dynamique analysable en tant que telle. Elle se fonde sur le principe selon lequel la perception configure le son qu’elle accueille. Elle revisite donc, en perspective semiotique, les types d’ecoute de P. Schaeffer et les observations de W. James sur le flux perceptif. L’etude aboutit a une proposition de « morphologies d’ecoute ».