{"title":"美国艺术的和平视野","authors":"J. Mancini, Dana Leibsohn","doi":"10.4000/PERSPECTIVE.6172","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Au debut de ce siecle, l’historien David Armitage declarait : « Desormais, nous sommes tous des atlantistes ». Cette assertion, qui sonne comme une bravade, contient une grande part de verite. A leur sommet, les Atlantic studies s’efforcaient (et s’efforcent toujours) d’ouvrir des perspectives methodologiques et historiques sur les reseaux – reels, imaginaires, ou un peu des deux – reliant les populations et les marchandises des Ameriques et de l’Afrique a celles de l’Europe occidentale. Elle...","PeriodicalId":231148,"journal":{"name":"Perspective Magazine","volume":"1 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2015-12-31","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Horizons pacifiques de l’art américain\",\"authors\":\"J. Mancini, Dana Leibsohn\",\"doi\":\"10.4000/PERSPECTIVE.6172\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Au debut de ce siecle, l’historien David Armitage declarait : « Desormais, nous sommes tous des atlantistes ». Cette assertion, qui sonne comme une bravade, contient une grande part de verite. A leur sommet, les Atlantic studies s’efforcaient (et s’efforcent toujours) d’ouvrir des perspectives methodologiques et historiques sur les reseaux – reels, imaginaires, ou un peu des deux – reliant les populations et les marchandises des Ameriques et de l’Afrique a celles de l’Europe occidentale. Elle...\",\"PeriodicalId\":231148,\"journal\":{\"name\":\"Perspective Magazine\",\"volume\":\"1 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2015-12-31\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Perspective Magazine\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.4000/PERSPECTIVE.6172\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Perspective Magazine","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.4000/PERSPECTIVE.6172","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
Au debut de ce siecle, l’historien David Armitage declarait : « Desormais, nous sommes tous des atlantistes ». Cette assertion, qui sonne comme une bravade, contient une grande part de verite. A leur sommet, les Atlantic studies s’efforcaient (et s’efforcent toujours) d’ouvrir des perspectives methodologiques et historiques sur les reseaux – reels, imaginaires, ou un peu des deux – reliant les populations et les marchandises des Ameriques et de l’Afrique a celles de l’Europe occidentale. Elle...