{"title":"Maxime Decout,赞美坏读者","authors":"Estelle Mouton-Rovira","doi":"10.4000/recherchestravaux.3768","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Ce bel essai de Maxime Decout, publie chez Minuit au printemps 2021, emprunte la forme de l’eloge paradoxal pour chercher a saisir les traits d’un intrus, ou plutot d’une figure habituellement tenue dans l’ombre par la theorie et la critique litteraires, celle du « mauvais lecteur ». Une telle rehabilitation de modes de lecture habituellement tenus pour reprehensibles est d’emblee historicisee par un premier chapitre (« Mort et renaissance du mauvais lecteur ») qui rappelle l’histoire — ancie...","PeriodicalId":429136,"journal":{"name":"Recherches & travaux","volume":"8 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2021-06-28","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Maxime Decout, Éloge du mauvais lecteur\",\"authors\":\"Estelle Mouton-Rovira\",\"doi\":\"10.4000/recherchestravaux.3768\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Ce bel essai de Maxime Decout, publie chez Minuit au printemps 2021, emprunte la forme de l’eloge paradoxal pour chercher a saisir les traits d’un intrus, ou plutot d’une figure habituellement tenue dans l’ombre par la theorie et la critique litteraires, celle du « mauvais lecteur ». Une telle rehabilitation de modes de lecture habituellement tenus pour reprehensibles est d’emblee historicisee par un premier chapitre (« Mort et renaissance du mauvais lecteur ») qui rappelle l’histoire — ancie...\",\"PeriodicalId\":429136,\"journal\":{\"name\":\"Recherches & travaux\",\"volume\":\"8 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2021-06-28\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Recherches & travaux\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.4000/recherchestravaux.3768\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Recherches & travaux","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.4000/recherchestravaux.3768","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
Ce bel essai de Maxime Decout, publie chez Minuit au printemps 2021, emprunte la forme de l’eloge paradoxal pour chercher a saisir les traits d’un intrus, ou plutot d’une figure habituellement tenue dans l’ombre par la theorie et la critique litteraires, celle du « mauvais lecteur ». Une telle rehabilitation de modes de lecture habituellement tenus pour reprehensibles est d’emblee historicisee par un premier chapitre (« Mort et renaissance du mauvais lecteur ») qui rappelle l’histoire — ancie...