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Cet article est extrait d’un carnet de voyage a Tokyo en fevrier 2018 ou Ahmed Boubeker etait invite pour une conference universitaire. A mi chemin entre la demarche ethnographique et la fantaisie du flâneur, le Japon de l’auteur est un peu comme l’Orient des orientalistes : charge d’affects et de percepts, mais essentiellement reconstruit de references litteraires et philosophiques. A travers le prisme du lointain, ce texte tente de trouver un point de recul, un ecart pour revenir sur des partis pris ou prejuges, a la fois sur le Japon et la France.