{"title":"Narbonne的tabellarii Caesaris nostri和罗马世界的帝国奴隶学院(CIL, XII, 4449)。","authors":"Nicolas Tran","doi":"10.3406/ccgg.2015.1842","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Cet article propose un réexamen approfondi d’une épitaphe collective de messagers impériaux, datant vraisemblablement de la seconde moitié de l’époque julio-claudienne. Ces esclaves formaient à Narbonne une familia réunie dans une association : le collegium salutare familiae tabellariorum Caesaris nostri. Comme leurs homologues attestés dans d’autres capitales provinciales (Éphèse et Carthage, notamment), ils appartenaient au personnel le plus subalterne de l’appareil d’État. Ils disposaient néanmoins d’une vaste concession funéraire, si grande qu’elle devait constituer un véritable parc.","PeriodicalId":170604,"journal":{"name":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","volume":"2011 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"1900-01-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"Les tabellarii Caesaris nostri de Narbonne et les collèges d’esclaves impériaux dans le monde romain (CIL, XII, 4449).\",\"authors\":\"Nicolas Tran\",\"doi\":\"10.3406/ccgg.2015.1842\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"Cet article propose un réexamen approfondi d’une épitaphe collective de messagers impériaux, datant vraisemblablement de la seconde moitié de l’époque julio-claudienne. Ces esclaves formaient à Narbonne une familia réunie dans une association : le collegium salutare familiae tabellariorum Caesaris nostri. Comme leurs homologues attestés dans d’autres capitales provinciales (Éphèse et Carthage, notamment), ils appartenaient au personnel le plus subalterne de l’appareil d’État. Ils disposaient néanmoins d’une vaste concession funéraire, si grande qu’elle devait constituer un véritable parc.\",\"PeriodicalId\":170604,\"journal\":{\"name\":\"Cahiers du Centre Gustave Glotz\",\"volume\":\"2011 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"1900-01-01\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Cahiers du Centre Gustave Glotz\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.3406/ccgg.2015.1842\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Cahiers du Centre Gustave Glotz","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.3406/ccgg.2015.1842","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
Les tabellarii Caesaris nostri de Narbonne et les collèges d’esclaves impériaux dans le monde romain (CIL, XII, 4449).
Cet article propose un réexamen approfondi d’une épitaphe collective de messagers impériaux, datant vraisemblablement de la seconde moitié de l’époque julio-claudienne. Ces esclaves formaient à Narbonne une familia réunie dans une association : le collegium salutare familiae tabellariorum Caesaris nostri. Comme leurs homologues attestés dans d’autres capitales provinciales (Éphèse et Carthage, notamment), ils appartenaient au personnel le plus subalterne de l’appareil d’État. Ils disposaient néanmoins d’une vaste concession funéraire, si grande qu’elle devait constituer un véritable parc.