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En 1928, a la fin de ses douze mois de service militaire dans une caserne de cavalerie tout pres de chez lui, un grand escogriffe au visage lunaire et aux jambes demesurement longues nomme Jacques Tatischeff retourna vivre au sein de sa famille pres de Saint-Germain. L’Armee lui avait donne du bon temps, mais pas une carriere. Sans bac et sans talent evident, il n’avait pas le choix. Il reprit son apprentissage d’encadreur d’art dans l’entreprise de son grand-pere Van Hoof. Au cours de cet in...