{"title":"查尔斯·皮尔斯(Charles Peirce)的现象学挑战中的音乐(或:有音乐次等性吗?)","authors":"D. Château","doi":"10.7202/1051473AR","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"La discussion sur la musique qui utilise la plus célèbre des triades peirciennes – icône, indice, symbole – achoppe, ce qui ne signifie nullement que la discussion soit close. On propose ici de la transporter sur un autre plan du système du sémioticien, celui quoffre la triade phénoménologique de la priméité, secondéité et tiercéité. Plus précisément, il s’agit de se demander si on peut parler de tiercéité en musique, c’est-à-dire de pensée. On la dit volontiers asémantique ; est-ce à dire qu’elle ne communique aucune pensée ?","PeriodicalId":350210,"journal":{"name":"Recherches sémiotiques","volume":"10 1","pages":"0"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2018-09-24","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":"{\"title\":\"La musique au défi de la phénoménologie de Charles Peirce (ou : y a-t-il une secondéité musicale?)\",\"authors\":\"D. Château\",\"doi\":\"10.7202/1051473AR\",\"DOIUrl\":null,\"url\":null,\"abstract\":\"La discussion sur la musique qui utilise la plus célèbre des triades peirciennes – icône, indice, symbole – achoppe, ce qui ne signifie nullement que la discussion soit close. On propose ici de la transporter sur un autre plan du système du sémioticien, celui quoffre la triade phénoménologique de la priméité, secondéité et tiercéité. Plus précisément, il s’agit de se demander si on peut parler de tiercéité en musique, c’est-à-dire de pensée. On la dit volontiers asémantique ; est-ce à dire qu’elle ne communique aucune pensée ?\",\"PeriodicalId\":350210,\"journal\":{\"name\":\"Recherches sémiotiques\",\"volume\":\"10 1\",\"pages\":\"0\"},\"PeriodicalIF\":0.0000,\"publicationDate\":\"2018-09-24\",\"publicationTypes\":\"Journal Article\",\"fieldsOfStudy\":null,\"isOpenAccess\":false,\"openAccessPdf\":\"\",\"citationCount\":\"0\",\"resultStr\":null,\"platform\":\"Semanticscholar\",\"paperid\":null,\"PeriodicalName\":\"Recherches sémiotiques\",\"FirstCategoryId\":\"1085\",\"ListUrlMain\":\"https://doi.org/10.7202/1051473AR\",\"RegionNum\":0,\"RegionCategory\":null,\"ArticlePicture\":[],\"TitleCN\":null,\"AbstractTextCN\":null,\"PMCID\":null,\"EPubDate\":\"\",\"PubModel\":\"\",\"JCR\":\"\",\"JCRName\":\"\",\"Score\":null,\"Total\":0}","platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Recherches sémiotiques","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.7202/1051473AR","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
La musique au défi de la phénoménologie de Charles Peirce (ou : y a-t-il une secondéité musicale?)
La discussion sur la musique qui utilise la plus célèbre des triades peirciennes – icône, indice, symbole – achoppe, ce qui ne signifie nullement que la discussion soit close. On propose ici de la transporter sur un autre plan du système du sémioticien, celui quoffre la triade phénoménologique de la priméité, secondéité et tiercéité. Plus précisément, il s’agit de se demander si on peut parler de tiercéité en musique, c’est-à-dire de pensée. On la dit volontiers asémantique ; est-ce à dire qu’elle ne communique aucune pensée ?