L. Ceugnart, R. Guillaume, M. Ben Haj Amor, A. Renaud, M.A. Delesalle, H. Jarraya, T. Boulanger, H. Bercez, F. Bachelle, S. Taieb
{"title":"Que peut-on classer ACR 3 ?","authors":"L. Ceugnart, R. Guillaume, M. Ben Haj Amor, A. Renaud, M.A. Delesalle, H. Jarraya, T. Boulanger, H. Bercez, F. Bachelle, S. Taieb","doi":"10.1016/j.jradio.2017.01.002","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"<div><p>La surveillance d’une anomalie mammaire classée ACR 3 est fiable et reproductible. La nouvelle version du lexique BIRADS n’apporte pas de modification substantielle à la pratique quotidienne. Elle introduit l’élastographie et le mode doppler au lexique échographique, mais reste relativement floue sur les critères ACR 3 en IRM, notamment pour les rehaussements non masse. La surveillance sur deux ans permet de diminuer le nombre d’actes interventionnels inutiles et le sur-diagnostic induit par ces gestes, tout en évitant des faux négatifs.</p></div>","PeriodicalId":49027,"journal":{"name":"Journal De Radiologie Diagnostique et Interventionnelle","volume":"98 1","pages":"Pages 20-33"},"PeriodicalIF":0.0000,"publicationDate":"2017-03-01","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"https://sci-hub-pdf.com/10.1016/j.jradio.2017.01.002","citationCount":"3","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Journal De Radiologie Diagnostique et Interventionnelle","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2211570617300024","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"","JCRName":"","Score":null,"Total":0}
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Abstract
La surveillance d’une anomalie mammaire classée ACR 3 est fiable et reproductible. La nouvelle version du lexique BIRADS n’apporte pas de modification substantielle à la pratique quotidienne. Elle introduit l’élastographie et le mode doppler au lexique échographique, mais reste relativement floue sur les critères ACR 3 en IRM, notamment pour les rehaussements non masse. La surveillance sur deux ans permet de diminuer le nombre d’actes interventionnels inutiles et le sur-diagnostic induit par ces gestes, tout en évitant des faux négatifs.