{"title":"Veillée chez Antoinette Bourgeois","authors":"Robert B. Perreault","doi":"10.7202/1051325AR","DOIUrl":null,"url":null,"abstract":"Antoinette Bourgeois (1902-1991), fille du photographe franco-américain Ulric Bourgeois (1874-1963) de Manchester au New-Hampshire, et la dernière survivante de sa famille, raconte ses souvenirs en 1978. Elle parle de son père, reconnu pour ses photos du Québec rural et de Manchester. Grâce à celui-ci, elle a pu rencontrer Charlie Lambert, surnommé l’ermite du Mosquito Pond dans les bois près de Manchester, ainsi que le prêtre-écrivain Henri d’Arles, un client de son père. Lorsque la soeur cadette d’Antoinette, Irène Bourgeois, tomba victime de la polio, c’est au frère André qu’elle a eu recours pour sa guérison. Par la suite, Antoinette entra la vie religieuse chez les Soeurs de Sainte Jeanne d’Arc de Sillery, Québec, sous le nom de soeur Céline. Par conséquent, elle a pu connaître des membres du clergé franco-américain du Rhode-Island, partisans d’un côté ou de l’autre du mouvement Sentinelliste. Elle rencontra également Marie-Rose Ferron, surnommée la Petite Rose, stigmatisée de Woonsocket au Rhode-Island. Enfin, après vingt ans de vie religieuse, Antoinette retourna dans sa famille pour s’occuper de ses parents jusqu’à leur décès.","PeriodicalId":41436,"journal":{"name":"Afriques-Debats Methodes et Terrains d Histoire","volume":"10 1","pages":""},"PeriodicalIF":0.3000,"publicationDate":"2018-09-14","publicationTypes":"Journal Article","fieldsOfStudy":null,"isOpenAccess":false,"openAccessPdf":"","citationCount":"0","resultStr":null,"platform":"Semanticscholar","paperid":null,"PeriodicalName":"Afriques-Debats Methodes et Terrains d Histoire","FirstCategoryId":"1085","ListUrlMain":"https://doi.org/10.7202/1051325AR","RegionNum":0,"RegionCategory":null,"ArticlePicture":[],"TitleCN":null,"AbstractTextCN":null,"PMCID":null,"EPubDate":"","PubModel":"","JCR":"Q3","JCRName":"AREA STUDIES","Score":null,"Total":0}
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Abstract
Antoinette Bourgeois (1902-1991), fille du photographe franco-américain Ulric Bourgeois (1874-1963) de Manchester au New-Hampshire, et la dernière survivante de sa famille, raconte ses souvenirs en 1978. Elle parle de son père, reconnu pour ses photos du Québec rural et de Manchester. Grâce à celui-ci, elle a pu rencontrer Charlie Lambert, surnommé l’ermite du Mosquito Pond dans les bois près de Manchester, ainsi que le prêtre-écrivain Henri d’Arles, un client de son père. Lorsque la soeur cadette d’Antoinette, Irène Bourgeois, tomba victime de la polio, c’est au frère André qu’elle a eu recours pour sa guérison. Par la suite, Antoinette entra la vie religieuse chez les Soeurs de Sainte Jeanne d’Arc de Sillery, Québec, sous le nom de soeur Céline. Par conséquent, elle a pu connaître des membres du clergé franco-américain du Rhode-Island, partisans d’un côté ou de l’autre du mouvement Sentinelliste. Elle rencontra également Marie-Rose Ferron, surnommée la Petite Rose, stigmatisée de Woonsocket au Rhode-Island. Enfin, après vingt ans de vie religieuse, Antoinette retourna dans sa famille pour s’occuper de ses parents jusqu’à leur décès.