Comparison of classic vs double concentrated dose botulinum toxin injections in the treatment of crow's feet

Abstract

Background

When it comes to administering botulinum toxin for treating rhytids, a standard approach is usually used by most providers in terms of dose concentration. The aim of this study is to compare the outcomes of a classic, none double concentrated dose vs. a double concentrated dose for treating crow's feet.

Method

We have injected the orbicularis oculi in a series of 10 patients with the left side as a control side using the classically concentrated dose (2 units per 0.5 cm³) compared to the double concentrated dose on the right (2 units per 0.25 cm³). The injections were administered using an auto-injecting syringe.

Results

On control day 14, we noticed that the majority of patients had a more apparent reduction in wrinkles on the left–classically concentrated–side (wrinkling appeared to be more prominent on the double concentration right side). A benefit noticed in some patients was a more symmetrical appearance of periorbital rhytids and sometimes the eyebrows with the uneven doses.

Conclusion

We found that injecting a double concentrated dose of botulinum toxin does not necessarily mean better reduction in the appearance of wrinkles even with the retrograde injection technique. However, certain implications may be found in tailoring the dosing of botulinum toxin depending on the needs of the patient on opposite sides of the face as opposed to unifying the dose for both sides.

Contexte

Lorsqu’il s’agit d’administrer de la toxine botulique pour traiter des rides, la plupart des injecteurs utilisent généralement une approche standard en ce qui concerne la concentration de la dose. Le but de cette étude est de comparer les résultats d’une dose classique, sans double concentration, par rapport à une double dose concentrée pour le traitement des pattes d’oie.

Méthode

Nous avons injecté l’orbiculaire de l’œil chez une série de 10 patients avec le côté gauche comme côté témoin en utilisant la dose classiquement concentrée (2 unités pour 0,5 cm³) par rapport à la double dose concentrée du côté droit (2 unités pour 0,25 cm³). Les injections ont été administrées à l’aide d’une seringue auto-injectable.

Résultats

Au 14^e jour, nous avons remarqué que la majorité des patients présentaient une réduction plus apparente des rides du côté gauche – classiquement concentré – (les rides semblaient plus importantes du côté droit en double concentration). Un bénéfice observé chez certains patients était une apparence plus symétrique des rides et parfois des sourcils avec des doses inégales.

Conclusion

Nous avons constaté que l’injection d’une dose doublement concentrée de toxine botulique ne signifie pas nécessairement une meilleure réduction de l’apparence des rides, même avec la technique d’injection rétrograde. Cependant, certaines implications pourraient être trouvées dans l’adaptation du dosage de toxine botulique en fonction des besoins du patient au niveau des côtés opposés du visage, plutôt que d’unifier la dose pour les deux côtés.