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Abstract
Une méta-analyse conclut que la thérapie comportementale et cognitive est également efficace lorsque les troubles du sommeil sont liés à une autre affection telle une dépression ou de la douleur (insomnie secondaire). Parmi les patients ayant bénéficié d’une thérapie comportementale et cognitive, 36 % ne présentaient plus d’insomnie à la fin du traitement, contre 17 % dans le groupe témoin. Le traitement était également associé à un effet positif sur l’affection à l’origine de l’insomnie, l’effet étant plus prononcé en cas de comorbidité psychiatrique qu’en cas de comorbidité médicale. L’effet sur la qualité du sommeil persistait pendant au moins 3 à 12 mois après l’arrêt du traitement. Des biais de publication ne peuvent être exclus b, 3, .