Les morts ne sont pas morts…

Comment surmonter les épreuves de la vie face à la perte de ses proches et la prise de conscience de sa mortalité ? Comment travailler toutes ces dimensions de la mort en psychothérapie ? L’auteur témoigne d’abord du choc affectif lié à trois pertes rapprochées et il en partage les effets sur sa pratique. À travers l’accompagnement de deux situations cliniques, celle d’un enfant et celle d’un adulte, ayant perdu une mère ou un frère, il tente de montrer quelques aspects de la transformation en Gestalt-thérapie. Il partage, en conclusion, sa conviction que la résilience est possible, après la disparition brutale d’un proche par l’intériorisation du lien et que, d’une certaine manière, les morts ne sont pas morts…